Members of the Pan-Africa Bean Research Alliance were working to improve their capacity in planning and management through the introduction of participatory monitoring and evaluation (PM&E) systems to national agricultural research and extension institutes (NARES) and their partners in Eastern and Southern Africa. The national bean programmes within NARES in six countries had been successful in institutionalising PM&E and in encouraging partners involved in the dissemination of bean technologies to incorporate PM&E systems in their projects.
This report outlines AIIM-Assist activities performed under four components (management of the annual program statement process, building the capacity of AIIM grantees and finalists, technical assistance to other USAID missions in Feed the Future focus countries, technical support to African regional partners outside of AIIM), and highlights qualitative and quantitatvie achievements between August 6, 2012 and November 4, 2016.
La Tunisie cherche à réorienter ses politiques d'Aménagement et de conservation des eaux et des sols (ACES) afin qu'elles gagnent en efficacité, en s'appuyant sur des démarches participatives innovantes. Cette orientation s'inscrit dans des contextes ruraux souvent peu documentés où la dimension environnementale nécessite d'être objectivée. De plus, il existe peu d'espaces de dialogue et de concertation entre les principales catégories d'acteurs des espaces ruraux concernés.
Une analyse de trajectoires d’innovations agricoles au Bénin observées dans la longue durée permet d’en identifier les facteurs de diffusion à grande échelle. Beaucoup d’innovations passent inaperçues sur de longs tronçons de leur trajectoire, étant endogènes ou impliquant des acteurs non « conventionnels » et pas d’organisations de recherche. Les innovations qui passent à grande échelle sont en fait des faisceaux d’innovations technologiques, institutionnelles ou organisationnelles qui s’enchaînent les unes en réponse aux contraintes des autres.
Une grande majorité des polyculteurs éleveurs de l’ouest du Burkina Faso ont un projet d’élevage familial (PEF) en tête. Cependant, plus de la moitié des projets ne démarrent même pas. Parmi ceux mis en place, d’importantes faiblesses sont observées au niveau de la gestion de l’alimentation du bétail, ce qui compromet leur rentabilité économique. Cet article présente une démarche de conception et d’accompagnement de projet d’élevage familial (Capef) conduit en partenariat entre le producteur et un conseiller.
Le Tuy, province de l'Ouest du Burkina Faso est une région soudanienne à forte pression démographique et pastorale où se posent avec acuité des problèmes de fertilité des sols. Face à la dégradation des ressources naturelles, opter vivre dans son milieu natal et s'assurer une bonne production agropastorale nécessite de la part des acteurs des actions concertées. Le projet Fertipartenaires aide les producteurs de cette province à se concerter, à réfléchir à leurs problèmes, proposer et expérimenter des solutions et les évaluer afin d'améliorer leur sécurité alimentaire.
Le projet CALAO – Capitalisation d’expériences d’acteurs pour le développement de techniques agroécologiques résilientes en Afrique de l’Ouest – a été mis en œuvre au cours de l’année 2017 dans le cadre du Projet d’appui à la sécurité alimentaire en Afrique de l’Ouest (PASANAO), financé par l’AFD et dont la maîtrise d’ouvrage est assurée par la CEDEAO.
Ce document fait le bilan du projet de recherche-action Agora dédié au renforcement de la gouvernance de services publics dans des communes du Bénin, du Burkina Faso et du Mali. Mené par Cités Unies France, le Gret, le Laboratoire Citoyennetés et plusieurs partenaires locaux de 2011 à 2014, Agora a couplé des phases de recherche, d’animation et d’apprentissage à la concertation entre les opérateurs, élus, agents de services techniques et usagers. Il se caractérise par la participation effective d’une équipe de chercheurs au dispositif de concertation.
La lutte contre la malnutrition constitue un enjeu majeur de développement, longtemps négligé. C’est pourquoi la France, aux côtés de nombreux autres bailleurs, a pris des engagements internationaux pour lutter contre la malnutrition. La sous-nutrition ne concerne pas seulement les situations d’urgence et la malnutrition relève d’un ensemble de facteurs multisectoriels, très liés à un territoire donné. Il paraissait donc nécessaire à l’Agence Française de Développement de bien ancrer la lutte contre la malnutrition dans la réalité opérationnelle.
Le présent document inclut les sections suivantes :
• La description des politiques et stratégies du Bénin dans les domaines du développement et de la réduction de la pauvreté, en particulier en vue de l’amélioration des conditions de vie des groupes vulnérables, dont les femmes rurales. Les politiques et stratégies qui orientent le développement du secteur agricole et rural sont aussi décrites, essentiellement eu égard aux aspects intéressant les groupes vulnérables, notamment les femmes rurales (Chapitre 3).