Au sud-est de la commune de Djougou, les eaux de surface à usage pastoral se raréfient depuis les années 1990. Pour en comprendre l’ampleur et les raisons, nous avons développé un outil permettant une analyse socio-spatiale et socio-environnementale, à l’échelle du finage de deux villages, des dynamiques des ressources, de leurs usages et des stratégies d’accès développées par les populations : un SIG « à dires d’acteurs » associant sur le même support une cartographie classique (réseau hydrographique, forêts, voies de communication, villages, etc.) et l’expertise des populations locales.
L’agriculture de conservation (AC) obéit à trois principes : travail du sol minimal, couverture du sol permanente et multiculture. Partant de ses avantages avérés pour l’écologie du sol, la séquestration de carbone et son adoption massive dans quelques régions du monde, elle est présentée par ses promoteurs comme un système durable convenant à tous contextes. Dès lors elle a été mondialement diffusée au nom du développement durable.
De nombreux agriculteurs africains pratiquent des formes d'agriculture potentiellement qualifiables de "?biologiques?". Pourtant, la capacité de l'agriculture biologique à répondre aux enjeux de la sécurité alimentaire en Afrique est encore mal connue, car il existe peu de références expérimentales disponibles dans cette région. L'élicitation probabiliste est une méthode permettant de rendre compte de manière précise des connaissances d'experts sur une ou plusieurs quantités d'intérêt, et de décrire les niveaux d'incertitude associés.
Ce manuel du formateur sur l’évaluation des besoins en capacités a été produit dans le cadre du projet de développement des capacités pour les systèmes d’innovation agricole (CDAIS). Cela implique un partenariat mondial (Agrinatura, l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture [FAO] et des partenaires nationaux de huit pays pilotes) qui vise à renforcer la capacité des pays et des principales parties prenantes à innover dans des systèmes agricoles complexes, permettant ainsi d'améliorer les zones rurales. moyens de subsistance.
Ce guide sur le suivi, l'évaluation et l'apprentissage a été préparé dans le cadre du projet Développement des capacités pour les systèmes d'innovation agricole (CDAIS), un partenariat mondial (Agrinatura, FAO et huit pays pilotes) qui vise à renforcer la capacité des pays et des principaux acteurs à innover dans des domaines complexes systèmes agricoles, améliorant ainsi les conditions de vie en milieu rural. Le CDAIS utilise une approche de cycle d'apprentissage continu pour soutenir les systèmes nationaux d'innovation agricole dans huit pays d'Afrique, d'Asie et d'Amérique centrale.
Grâce à l’analyse des capacités réalisée en complément des activités visant à améliorer la nutrition, les parties prenantes ont pu obtenir une vue d’ensemble des obstacles auxquels les institutions sont confrontées en Ouganda.
Le manque de capacités individuelles et organisationnelles compromet souvent l’impact à long terme de programmes qui par ailleurs sont techniquement solides. La FAO a donc mis au point des outils destinés à aider les pays à déterminer les déficits de capacités et à répondre à leurs besoins réels de manière durable. La présente note décrit
Les démarches participatives suscitent un intérêt grandissant en tant que pratiques de recherche en agriculture. Dans l'objectif de faciliter les échanges de pratiques entre chercheurs, cet article propose une grille d'analyse qui appréhende le processus de participation de façon globale et dynamique.
Ce rapport final dresse le bilan des activités scientifiques engagées dans le cadre du projet Adap’Terr « L’adaptation au changement climatique : les défis d’une approche intégrée pour les territoires ? ». Ce volume de synthèse, présentant les principaux résultats, s’organise en trois parties. Une première partie précise certaines questions que posent pour l’aménagement et l’urbanisme l’action climatique locale, afin de développer un cadre conceptuel en mesure d’analyser les initiatives locales face au « problème climat ».
L’objectif de ce travail est de proposer un plan de formation des différents catégories d'acteurs (à identifier) dans le but d'apporter une contribution significative au renforcement de capacité dans chaque pays et dans la sous-région. Des actions précises visant à permettre aux acteurs de lever les éventuels blocages institutionnels devront accompagner ce processus de renforcement des capacités, notamment en ce qui concerne la négociation, le lobbying, la mise en réseau etc.
Les résultats attendus de ce travail sont :
L’objectif de ce guide est de faciliter la planification et la mise en œuvre des
sessions de formation. Il fait partie du cours de Gestion d’entreprises associatives
rurales en agroalimentaire et a été conçu pour les facilitateurs qui possèdent
des connaissances et une expérience en ce qui concerne les aspects techniques de
la formation, mais qui n’ont pas forcément de compétences pédagogiques et qui
n’ont pas d’expérience leur permettant de faciliter le processus d’enseignementapprentissage.