En la provincia de Guanacaste se observan dos estaciones bien marcadas a lo largo del año: la seca, que va de principios de noviembre a finales de mayo, y la lluviosa, que comprende los meses restantes. Sin embargo, en las últimas décadas, en el territorio nacional se han presentado importantes variaciones en las oscilaciones de precipitación y temperaturas que han impactado significativamente a esta provincia.
La excelente vocación hortícola del Valle del Guarco en Costa Rica ha convertido esta región en uno de los sitios con mayor utilización de agroquímicos del país. La producción hortícola en esta zona se caracteriza por la presencia de monocultivos en las laderas de montañas, con una alta propensión a la erosión del suelo por escorrentía. Se ha determinado que las hortalizas y las frutas abastecidas por productores de esta zona presentan el riesgo latente de residuos de plaguicidas.
La Hacienda Aquiares es la finca de café más grande de Costa Rica en un solo bloque; el 80 % de su tierra está sembrada de café, mientras que el otro 20 % está destinado a la protección de bosques. La comunidad de Aquiares, que es hogar de casi 2 000 personas, se asienta en medio de la finca. La finca y la comunidad están mutuamente conectadas: la finca brinda servicios, tierra, seguridad y trabajo a los habitantes de la comunidad, a la vez que se ha beneficiado de una comunidad cuyos pobladores tienen un buen nivel educativo y compromiso por la actividad cafetalera.
Une nouvelle vidéo montre comment les paysannes en Afrique de l’Ouest travaillent pour protéger la production traditionnelle d’huile de palme face à l'impact destructeur de l'expansion des plantations industrielles de palmiers à huile.
Les systèmes semenciers paysans nourrissent le monde et font preuve de résilience face aux catastrophes naturelles. Cependant, ils sont menacés par l’emprise croissante des entreprises sur la nature et par l’accélération de la destruction de la biodiversité agricole. De plus en plus, les sociétés des semences et de l’agrochimie cherchent à privatiser, monopoliser et contrôler les semences en déposant des brevets et en encourageant la marchandisation de la source même de la vie.
Le projet agro-écologique porte une ambition claire : dépasser les oppositions autour de la question du modèle de croissance de notre agriculture et inscrire l’évolution de notre agriculture et des filières agricoles et agroalimentaires dans un cadre tourné vers l’avenir et adapté aux nombreux défis que nous devons relever. Cette approche est d’autant plus nécessaire qu’il n’existe plus, de fait, de modèle unique d’exploitations ; celles-ci sont très diversifiées et de moins en moins semblables les unes aux autres. L’agro-écologie est un véritable projet pour l’agriculture.
2015 a été une année marquante pour l’avenir de la planète et donc pour l’avenir de chaque femme, chaque homme, chaque enfant, fille ou garçon, aux quatre coins du monde. Deux événements importants – le Sommet des Nations Unies sur le développement durable 2015 et la COP21, sur le développement et le changement climatique, ont donné lieu à des engagements concrets et sans précédent à l’échelle mondiale pour éradiquer la pauvreté d’ici à 2030 et promouvoir la protection de l’environnement.
La plupart des personnes pauvres et qui souffrent de la faim, dans le monde, sont des ruraux qui tirent un maigre revenu de l’agriculture. En 2010, sur les 1,2 milliard de personnes extrêmement pauvres, quelque 900 millions vivait en milieu rural. Environ 750 millions de ces personnes travaillaient dans l’agriculture, généralement comme petits exploitants familiaux (Olinto et al., 2013). On estime que 200 millions de ruraux pauvres pourraient émigrer vers les villes ces 15 prochaines années, mais la plupart d’entre eux resteront toutefois à la campagne.
Au niveau familial, l’émigration constitue souvent une recherche de revenus, de sécurité, mais aussi une manière de faire face à des problèmes socio-politiques et des conflits. A l’encontre des clichés, l’émigration n’est pas forcément défavorable à l’agriculture familiale.
Dans le cadre d’un programme financé par l’Union Européenne, les ONG GLOPOLIS, SOS FAIM et VECO et leurs partenaires paysans concernés ont mené plusieurs études sur les filières de production de riz dans 5 pays d’Afrique de l’ouest : le Bénin, le Burkina Faso, le Mali, le Niger et le Sénégal.