Les conventions locales peuvent être définies comme des accords légitimes négociés entre plusieurs parties prenantes (stakeholders) dans une perspective de régulation des ressources naturelles – en termes de contrôle, d’accès, d’appropriation, d’usage et d’exploitation – et de l’environnement. Au Sahel, bien qu’elles soient en vogue et jouissent davantage d’attention chez les décideurs, elles constituent des instruments encore peu exploités dans le contexte actuel de la décentralisation (Diallo, 2003).
L’insécurité alimentaire s’intensifie au Québec malgré des interventions gouvernementales qui s’attaquent à divers aspects du problème et font intervenir de nombreux acteurs fédéraux et provinciaux de différentes sphères d’action publique. Ce mémoire s’interroge sur la cohérence des actions publiques au sein de chacun des ordres de gouvernement (cohérence horizontale) et entre ces ordres de gouvernement (cohérence verticale).
La transition agroécologique requiert de transformer la manière d’accompagner les agriculteurs dans leurs changements de pratiques. Les champs-écoles sont des dispositifs participatifs pertinents pour cela, car ils accroissent les capacités des agriculteurs à expérimenter, à produire des connaissances et à construire eux-mêmes des innovations. Il est toutefois nécessaire de veiller à la qualité de mise en œuvre de ces dispositifs, ce qui a des implications pour les acteurs de la recherche et du développement.
L’agriculture familiale est l’une des formes d’organisation de l’agriculture à travers le monde. Elle se décline en fait en une multiplicité de types concrets repérables au niveau des exploitations agricoles .
Les recommandations de cet atelier sont organisées en trois parties. La première propose un état des lieux des interactions qu’entretient l’agriculture familiale avec les acteurs du système alimentaire mondial. La seconde relate les principaux débats et controverses ayant structuré l’atelier. La troisième explore Le rôle de la recherche dans l’évolution de l’agriculture familiale en tant qu’élément du système alimentaire ?
Les systèmes alimentaires et agricoles actuels parviennent à fournir de grandes quantités d’aliments sur les marchés mondiaux. Cependant, les systèmes agricoles à forte intensité d’intrants externes et de ressources sont à l’origine d’une déforestation massive, de pénuries d’eau, d’une perte de biodiversité, d’un épuisement des sols et d’importantes émissions de gaz à effet de serre. En dépit des progrès significatifs accomplis récemment, la faim et l’extrême pauvreté demeurent des problèmes cruciaux au niveau mondial.
In 2012, the Food Systems Innovation (FSI) initiative was set up between four Australian organisations working to improve the impact of agriculture and food security programs in the Indo-Pacific region. The author was assigned to facilitate a stream of work in the partnership, working as an internal partnership broker in one of the four partner organisations, the Commonwealth Science and Industrial Research Organisation (CSIRO).
This paper, part of the Social Sciences Working Paper Series, presents studies undertaken by nine community-based, natural resource management (CBNRM)-oriented organizations in China, Viet Nam, the Philippines and Mongolia. The partner organizations, representing three broad types: academic, regional network, and community based, were brought together by a 2006 initiative in an informal network to develop and pilot methods for evaluating capacity development in community-based natural resource management.
This paper analyses a monitoring, evaluation and learning (MEL) system developed within an agricultural research for development institution. The system applies aspects of the Outcome Harvesting tool and focuses on learning for adaptation and improvement of innovation processes. Developmental evaluation principles are applied to discuss its application. The MEL system provides insight into the processes and interactions with next users that generate outcomes.
The capacity of existing monitoring and decision making tools in generating evidence about the performance of R4D with multi-stakeholder processes, such as innovation platforms (IPs), public private partnerships (PPP), participatory value chain management (PVCM) is very limited. Results of these tools are either contextual and qualitative such as case studies that can not be used by other R4D interventions or quantitative i.e. impact assessments that do not inform what works in R4D.