This document is part of the project “Strengthening the adaptive capacity to climate change in the fisheries and aquaculture sector of Chile”, executed by the Undersecretariat of Fisheries and Aquaculture and the Ministry of the Environment, and implemented by the Food and Agriculture Organization of the United Nations, with funding from the Global Environment Facility. The work was implemented in four pilot coves: Caleta Riquelme (Tarapacá); Caleta Tongoy (Coquimbo); Caleta Coliumo (Biobío); and Caleta El Manzano-Hualaihué (Los Lagos).
Lors de la conception de projets, il importe de faire intervenir les parties prenantes locales le plutôt possible afin de veiller à ce que les activités de renforcement des capacités répondent vraiment à leurs besoins. Les processus multipartites peuvent aussi mener à à une plus grande appropriation des activités et des résultantes des projets. La présente étude de cas offre un exemple de processus multipartite mis en place avec succès au Soudan pour renforcer les systèmes d’information sur la sécurité alimentaire et la nutrition dans quatre États.
Bien que le nombre de personnes vivant au-dessous du seuil de pauvreté en Ouganda ait diminué de moitié cette dernière décennie, le taux de malnutrition a augmenté de 27 à 30 pour cent. Au cours de la même période, la consommation alimentaire journalière par habitant a reculé de 9,5 pour cent, ce qui représente une baisse des apports énergétiques alimentaires. Plusieurs raisons expliquent cette situation, mais selon le Plan d’action pour la nutrition de l’Ouganda (2011-2016) le manque de capacités est l’un des cinq principaux facteurs à l’origine de la persistance de la malnutrition.
Grâce à l’analyse des capacités réalisée en complément des activités visant à améliorer la nutrition, les parties prenantes ont pu obtenir une vue d’ensemble des obstacles auxquels les institutions sont confrontées en Ouganda.
Le manque de capacités individuelles et organisationnelles compromet souvent l’impact à long terme de programmes qui par ailleurs sont techniquement solides. La FAO a donc mis au point des outils destinés à aider les pays à déterminer les déficits de capacités et à répondre à leurs besoins réels de manière durable. La présente note décrit
Les pays investissent une grande partie de leur budget de renforcement des capacités dans l'apprentissage et la formation. Quelles mesures faudrait-il prendre pour s'assurer que ces investissements donnent des résultats utiles ? Le cycle de gestion de l'apprentissage élaboré par la FAO donne des précisions sur les étapes à suivre pour créer des activités d'apprentissage efficaces. La présente note d'information met en lumière les éléments principaux de ce processus et fournit des liens vers les outils et le matériel d'orientation.
Le programme de la GIZ intitulé « Amélioration des conditions-cadres dans le secteur privé et financier (ProEcon) » vise à promouvoir le développement économique au Zimbabwe. Parmi les projets conçus à cet effet figure la promotion des cycles économiques en milieu rural. Se fondant sur l’agriculture contractuelle comme instrument efficace, le projet ProEcon appuie l’intégration des petits exploitants agricoles dans les chaines de valeur, l’objectif étant d’augmenter leurs possibilités de revenu.
The global impacts of the climate crisis are becoming ever clearer, and natural resources and ecosystems are being depleted. Despite some progress, hunger and poverty persist, and inequalities are deepening. The world is realizing that unsustainable high external inputs and resource-intensive industrialized systems pose a real danger of biodiversity loss, increased greenhouse gas emissions, shortages of healthy food, and the impoverishment of dispossessed peasants around the world.
In the rapidly changing context of agri-food systems, extension and advisory services (EAS) are expected to provide new roles and services that go well beyond the traditional production-related technology transfer. Consequently, pluralistic EAS systems with diverse actors have emerged with diverse actors, including private and civil society organisations. These multiple EAS actors must adopt innovative entrepreneurship models if they are to act proactively and respond to the increasing diversity of farmers’ demands while staying independent and sustainable.
Women play a key role in agriculture and food security, making up around 48 percent of the agricultural labour force in low-income countries. Despite this, their important contribution is hardly visible and largely unrecognized. Gender equality regards human rights but gender-based constraints in the sector cause also major inefficiencies in value chains, and are a key impediment for rural development, food security, and social and environmental sustainability. Moreover, the severe and multidimensional constraints faced by women hamper their productive potential and livelihoods.
While several studies have shown that genetically modified Bt cotton can benefit smallholder farmers economically, the sustainability of these effects is still unclear and debated controversially between biotechnology proponents and critics. We use unique panel data of 533 cotton farmers, collected in India between 2002 and 2008, to analyze Bt impacts on cotton yield, profit, and household living standards. Results from fixed effects models show that the adoption of Bt cotton is associated with a net yield gain of 24% and a profit increase of 50%.