This paper was presented at the Farmer First Revisited: 20 Years On conference at IDS, University of Sussex, UK, December 2007. Its focus is the challenge of strengthening agricultural innovation systems. The paper prefaces this discussion by reflecting on an apparent paradox. While agricultural innovation has never been better studied and understood, many of our ideas about innovation have failed to fundamentally change the institutional and policy setting of public and private investment intended to promote innovation for development.
This book contains a collection of papers that discuss the experience of an Agricultural Research for Development (AR4D) capacity building program in Papua New Guinea (PNG). The program was the AusAID-funded Agricultural Research and Development Support Facility (ARDSF), which ran for fi ve years from 2007 to 2012, and which sought to improve the delivery of services by agricultural research organisations to smallholder farmers.
The emergence of a globalised knowledge economy, and the contemporary views of innovation capacity that this trend enables and informs, provides a new context in which development assistance to agricultural research and development needs to be considered. The main argument in this paper, which focuses on The Netherlands, is that development assistance should use this emerging scenario to identify niches where inputs can add value to the R&D investments of others, particularly in activities that help wire up innovation systems, linking R&D to other activities and actors in society.
This paper was prepared to present at the Farmer First Revisited: 20 Years On conference at the Institute of Development Studies, University of Sussex, UK, December, 2007. Its focus is the challenge of strengthening agricultural innovation systems. The paper prefaces this discussion by reflecting on an apparent paradox. While agricultural innovation has never been better studied and understood, many of our ideas about innovation have failed to fundamentally change the institutional and policy setting of public and private investment intended to promote innovation for development.
La nouvelle édition annuelle de Défis Sud propose un regard sur les agricultures, avec des faits, des chiffres et des prévisions. Face à l’augmentation de la population, au réchauffement climatique et à la perte de ressources naturelles, les solutions proposées pour répondre au défi de la sécurité alimentaire mondiale devraient davantage miser sur l’agriculture familiale et l’agroécologie.
La publication de ce numéro double consacré à l’agriculture familiale marque un tournant de l’histoire de la revue Défis Sud. Depuis vingt ans, votre revue a resserré son projet éditorial sur les questions agricoles et de développement rural.
Face aux limites du système agro-industriel productiviste, des résistances et des alternatives positives proposent de nouvelles façons de penser et de pratiquer l’agriculture.
Ces dernières années, une « ruée vers les terres » a privé une multitude de petits producteurs du Sud de leur surface agricole. Depuis l’an 2000, plus de 1 600 transactions foncières portant sur quelque 60 millions d’hectares ont été enregistrées.
La qualité de la nutrition n’est pas encore bien intégrée au sein des politiques alimentaires mondiales. Pourtant, les conséquences sociales, économiques et sanitaires de la malnutrition sur les populations sont de plus en plus graves.
Lancée par le président brésilien Lula au début des années 2000, Fome Zero est une stratégie globale de lutte contre la faim, intégrant un ensemble de programmes publics d’accès à l’alimentation, de soutien à l’agriculture familiale et de développement d’activités génératrices de revenus, le tout dans un cadre impliquant fortement la société civile. Grâce à Fome Zero, le Brésil est souvent montré comme le modèle à suivre en matière de politique publique de lutte contre la faim. Mais quels sont les aléas du copier-coller de ce modèle ?