Face aux limites du système agro-industriel productiviste, des résistances et des alternatives positives proposent de nouvelles façons de penser et de pratiquer l’agriculture.
La qualité de la nutrition n’est pas encore bien intégrée au sein des politiques alimentaires mondiales. Pourtant, les conséquences sociales, économiques et sanitaires de la malnutrition sur les populations sont de plus en plus graves.
Jardins partagés, potagers sur les toits, fermes pédagogiques… L’agriculture urbaine est plurielle. C’est aussi vrai pour les fonctions qu’elle joue. Découvrez-en plus dans l’article d’Anne-Laure sur le concept d’agriculture urbaine et ses différentes fonctions mais aussi ses chiffres clés en infographie (p.4-5) Les crises semblent être propices au développement de cette forme d’agriculture. Joana revient sur des initiatives portées en temps de crise au Royaume-Uni, à Cuba ou encore à Lisbonne.
En 1995, SOS Faim entamait une première collaboration avec la coopérative La Florida dans la ‘Selva Central’, forêt semi-tropicale du centre du Pérou. Cette coopérative de petits producteurs de café sortait d’une grave crise suite à la présence importante du mouvement Sentier Lumineux dans la région : plusieurs dirigeants avaient été assassinés et les infrastructures détruites. En phase de redynamisation, elle recherchait une garantie pour obtenir un crédit auprès d’une banque locale pour collecter la production de ses membres et la commercialiser de manière groupée.
Les semences, c’est la vie. Le point de départ d’un produit agricole et des aliments qui se trouvent dans nos assiettes. C’est dire leur importance. Mais, le sujet est complexe et fait aussi débat. Parce que les semences se trouvent au coeur d’un imbroglio d’acteurs, d’intérêts et de modes de production différents. C’est un vrai marché (p.4) avec tous les enjeux que cela comporte (p.7-8).
Les changements climatiques sont intimement liés à l’agriculture et à la sécurité alimentaire. En effet, on peut considérer l’agriculture à la fois comme acteur, victime et sauveur des changements climatiques. Malgré ce triple rôle évident, l’agriculture n’apparait pas en tant que telle dans les négociations.
Le président Macky Sall veut mettre en pratique une série de réformes inclusives qui permettraient au Sénégal d’allier à la fois les « bienfaits de l’agrobusiness » et de l’agriculture paysanne. La balle est dans le camp des sociétés civiles et des organisations paysannes qui doivent saisir la chance d’orienter les politiques agricoles de leur pays. Si elles manquent cette opportunité, le gouvernement sénégalais risque de favoriser l’agrobusiness classique.
La metodología presentada responde entonces a la formalización de los aprendizajes desarrollados en la animación y acompañamiento de proyectos locales de valorización de recursos territoriales. El trabajo con los actores locales, como resultado de puntos de partidas y trayectorias diferentes, con motivaciones, objetivos y estrategias propias a cada caso, nos permite considerar el carácter de único, de construido y de situado de cada proyecto local.
En este documento se resumen casos concretos de aplicación de buenas prácticas de adaptación de los sistemas agropecuarios ante el cambio climático en algunos países de América Latina, las cuales pueden ser consideradas, adaptadas y enriquecidas para ser replicadas, bien sea en diferentes regiones de un mismo país o en otros países.
Esta guía, para el diagnóstico de los SisNIAs plantea un nabordaje con base en tres ejes de análisis: i) Caracterización de la producción y del sistema de ciencia y tecnología, donde se desarrolla la situación productiva del país, generación de conocimiento, dominio tecnológico y base técnica de producción; ii) Caracterización de los actores del sistema y sun papel en la inducción de la innovación, identificando a los principales actores y el rol que cumplen en el sistema; iii) Caracterización de la institucionalidad del SisNIA, sustentada en los marcos legales, estímulos y obstáculos a la