The European Innovation Partnership for agricultural productivity and sustainability (EIP-AGRI), which can be perceived as a platform based on interaction among farmers, researchers, and advisors/extensionists, represents a useful tool for a better understanding of applied innovation processes.
Multi-actors networks are increasingly used by farmers to link between them and to be interactively connected with other partners, such as advisory organizations, local governments, universities, and non-farm organizations. Given the importance assigned to the agricultural innovation by EU resorting to the networking between the research chain actors and the farmers, a strong focus on enhancing the creation of learning and innovation networks is expected.
Social media (SM) such as Twitter and Facebook are new communication tools for rural communities, and SM has enabled the creation of rural social networks. Increased use by farmers of 'mobile digital devices' and better rural access to broadband services have enhanced so that SM is being used to support farming decisions. However, in depth studies on how SM is used for knowledge sharing amongst farmers and the role of rural professionals (e.g. advisors) in this space is an emergent field with limited literature.
The international workshop on Agricultural Innovation Systems in Africa (AISA) was held in Nairobi, Kenya, on 29–31 May 2013. Its main objectives were to learn jointly about agricultural innovation processes and systems in Africa, identify policy implications and develop policy messages, and explore perspectives for collaborative action research on smallholder agricultural innovation.The workshop focused on sharing experiences in trying to understand and strengthen multi-stakeholder innovation processes and the role of smallholders in innovation, and identifying and discussing priorities an
Une analyse de trajectoires d’innovations agricoles au Bénin observées dans la longue durée permet d’en identifier les facteurs de diffusion à grande échelle. Beaucoup d’innovations passent inaperçues sur de longs tronçons de leur trajectoire, étant endogènes ou impliquant des acteurs non « conventionnels » et pas d’organisations de recherche. Les innovations qui passent à grande échelle sont en fait des faisceaux d’innovations technologiques, institutionnelles ou organisationnelles qui s’enchaînent les unes en réponse aux contraintes des autres.
Le Tuy, province de l'Ouest du Burkina Faso est une région soudanienne à forte pression démographique et pastorale où se posent avec acuité des problèmes de fertilité des sols. Face à la dégradation des ressources naturelles, opter vivre dans son milieu natal et s'assurer une bonne production agropastorale nécessite de la part des acteurs des actions concertées. Le projet Fertipartenaires aide les producteurs de cette province à se concerter, à réfléchir à leurs problèmes, proposer et expérimenter des solutions et les évaluer afin d'améliorer leur sécurité alimentaire.
Depuis sa création, le Parc national du Mont Péko est sujet à diverses pressions anthropiques. Ces pressions ont été accentuées durant les conflits armés en Côte d’Ivoire entre 2002 et 2011. L’intensification des pressions aurait entraîné une augmentation du taux de déforestation dans le parc. Pour vérifier cette hypothèse, la présente étude visait à déterminer l’effet des conflits sur la dynamique forestière du parc. À cet effet, quatre images satellitaires Landsat ont été analysées pour examiner les changements d’occupation des sols avant, pendant et après les conflits.
Depuis 2009, l'Union des groupements pour la commercialisation des produits agricoles de la Boucle du Mouhoun, au Burkina Faso, soutenue par ses partenaires techniques et financiers, a mis en place un service de conseil à l'exploitation familiale (CEF) pour ses membres. Ce service a pour objectif de favoriser l'apprentissage et la formation des agriculteurs en mettant l'accent sur la maîtrise de la gestion technico-économique de l'exploitation agricole, suivant quatre axes principaux : prévoir, mettre en oeuvre, analyser et évaluer.
Ce rapport présente les principaux résultats acquis sur la période févier 2017 à mars 2018, ainsi que les leçons et perspectives.
La transition agroécologique requiert de transformer la manière d’accompagner les agriculteurs dans leurs changements de pratiques. Les champs-écoles sont des dispositifs participatifs pertinents pour cela, car ils accroissent les capacités des agriculteurs à expérimenter, à produire des connaissances et à construire eux-mêmes des innovations. Il est toutefois nécessaire de veiller à la qualité de mise en œuvre de ces dispositifs, ce qui a des implications pour les acteurs de la recherche et du développement.