Le secteur agricole est le premier employeur au niveau mondial et les actifs familiaux forment l'essentiel de cette force de travail. L'agriculture familiale produit plus de 70 % de la production alimentaire et gère une proportion considérable des ressources naturelles. Ce modèle d'agriculture caractérisé par sa diversité et sa résilience, a la capacité de proposer des réponses adaptées aux défis alimentaires, sociaux et environnementaux. La reconnaissance et le soutien aux agricultures familiales sont indispensables pour lutter contre la pauvreté et construire un développement durable.
Le projet agro-écologique porte une ambition claire : dépasser les oppositions autour de la question du modèle de croissance de notre agriculture et inscrire l’évolution de notre agriculture et des filières agricoles et agroalimentaires dans un cadre tourné vers l’avenir et adapté aux nombreux défis que nous devons relever. Cette approche est d’autant plus nécessaire qu’il n’existe plus, de fait, de modèle unique d’exploitations ; celles-ci sont très diversifiées et de moins en moins semblables les unes aux autres. L’agro-écologie est un véritable projet pour l’agriculture.
Nouvel instrument communautaire mobilisant la politique de recherche et la PAC, le PEI entend susciter des partenariats entre les acteurs du développement, de l’enseignement agricole, les agriculteurs, les chercheurs et les entreprises. En cela, il reflète l’évolution récente du cadre de pensée des institutions internationales, qui voient dans l’innovation agricole moins le produit de la recherche et du transfert de connaissances que le résultat d’interactions entre acteurs au sein de réseaux plus ou moins formels.
La stratégie de Lisbonne met en avant la nécessité de stimuler la croissance et de créer des emplois dans les zones rurales, elle vise à renouveler les bases de la compétitivité européenne, à augmenter son potentiel de croissance ainsi que sa productivité et à renforcer la cohésion sociale en misant principalement sur la connaissance, l’innovation et la valorisation du capital humain.
La agricultura de América Latina y el Caribe (ALC) se enfrenta a una oportunidad global sin precedentes: satisfacer los patrones de consumo diferenciados y de mayor calidad de 7000 millones de personas en la actualidad y de no menos 9000 millones para el 2050. A esta oportunidad se suma el valor que le brinda la agricultura a las poblaciones rurales, no solo como su fuente alimentaria, sino también como su única o primordial fuente de ingresos. Y son los territorios rurales precisamente los llamados a prepararse, adaptarse y asumir el reto de alimentar al mundo.
En la provincia de Guanacaste se observan dos estaciones bien marcadas a lo largo del año: la seca, que va de principios de noviembre a finales de mayo, y la lluviosa, que comprende los meses restantes. Sin embargo, en las últimas décadas, en el territorio nacional se han presentado importantes variaciones en las oscilaciones de precipitación y temperaturas que han impactado significativamente a esta provincia.
La excelente vocación hortícola del Valle del Guarco en Costa Rica ha convertido esta región en uno de los sitios con mayor utilización de agroquímicos del país. La producción hortícola en esta zona se caracteriza por la presencia de monocultivos en las laderas de montañas, con una alta propensión a la erosión del suelo por escorrentía. Se ha determinado que las hortalizas y las frutas abastecidas por productores de esta zona presentan el riesgo latente de residuos de plaguicidas.
La Hacienda Aquiares es la finca de café más grande de Costa Rica en un solo bloque; el 80 % de su tierra está sembrada de café, mientras que el otro 20 % está destinado a la protección de bosques. La comunidad de Aquiares, que es hogar de casi 2 000 personas, se asienta en medio de la finca. La finca y la comunidad están mutuamente conectadas: la finca brinda servicios, tierra, seguridad y trabajo a los habitantes de la comunidad, a la vez que se ha beneficiado de una comunidad cuyos pobladores tienen un buen nivel educativo y compromiso por la actividad cafetalera.
This paper draws lessons from selected country experiences of adaptation and innovation in pursuit of food security goals.
African agriculture is currently at a crossroads, at which persistent food shortages are compounded by threats from climate change. But, as this book argues, Africa can feed itself in a generation and help contribute to global food security. To achieve this Africa has to define agriculture as a force in economic growth by: advancing scientific and technological research; investing in infrastructure; fostering higher technical training; and creating regional markets.