This volume is devided into three parts. The first part describes on-going
processes of change within, or aside, the socio-technical regime that we have
inherited from the modernisation and industrialisation process of agriculture,
which took part after the second world-war. The focus in this part is on studies
dealing with the issue of agro-ecological initiatives born in niches of organic
movement, which are questioning the mainstream regime of industrialised
agriculture.
Innovations in the agri-food sector are needed to create a sustainable food supply. Sustainable food supply requires unexpectedly that densely populated regions remain food producers. A Dutch innovation program has aimed at showing the way forward through creating a number of practice and scientific projects. Generic lessons from the scientific projects in this program are likely to be of interest to agricultural innovation in other densely populated regions in the world.
The present article reviews the results and methodological design of an evaluation at higher education centres in Bolivia, Ghana and India. The ambition of these programmes was to integrate endogenous knowledge and values into education and research programmes. The evaluation provides an example of a mixed methods design that allowed for inclusion and appreciation of perspectives of different stakeholders. An evaluation team has to consider which set of methods is responding to the project context and how the methods complement each other and can be adapted to the case.
This document summarizes the insights of YPARD young professionals and their opinions on AIS. In particular, the document refers to the YPARD e-discussion, which was held in September 2012 and raised the concern of the impact of the global economic recession and climate change on agriculture. This could lead to declining agricultural productivity, and low production further impacts the declining interest of youth in Agricultural activities.
This brief puts the focus on the postharvest (PH) losses in Mozambique. According to the authors the glaring lack of data loss for major food commodities in Mozambique should move the government, development agencies, donors and research institutions to invest more on rigorous and systematic field-based studies to assess losses, and to identify matching loss mitigation innovations. The authors also assert that building local capacity and strengthening policy on PH will be of essence.
Les politiques publiques en faveur du développement rural se matérialisent au travers d’instruments incitatifs, de règlements particuliers, ou encore par l’accompagnement des initiatives particulières. Ceux-ci répondent en général à la mise en place d’une stratégie nationale d’appui à une filière agricole. Dans le cas du quinoa cultivé au Chili, chaque région de production observe un développement propre.
L’agronomie s’interroge sur la façon de co-développer de nouvelles propositions techniques et organisationnelles pour améliorer la production et le niveau de vie des populations. La Recherche-Action en Partenariat (RAP) est une démarche de recherche qui associe les acteurs locaux à la construction d’innovations. Le caractère imprévisible des stratégies des acteurs et la nécessité d’atteindre les objectifs de la RAP incitent les chercheurs à mettre en place des dispositifs adaptés à la situation locale.
L’intégration de la conservation de la biodiversité à un développement durable est ici analysée pour la gestion de la zone tampon de la Réserve de biosphère du Parc du W. Trois gestions intentionnelles sont avancées pour anticiper une transition agraire et paysagère. Chacune d’elles s’appuie sur des capacités qui leur sont propres. Une gestion intégrée de type agro forestière est recommandée.
Cet article revient sur l’activisme des multinationales de l’agrofourniture et de l’agroalimentaire dans la gouvernance du secteur agricole. Pour ce faire nous nous appuyons sur deux cas de figure qui ont trait à la conception et à la diffusion d’innovations à l’échelle internationale : la technique du semis direct, et la mise en place de systèmes de certification « durable » des principales matières premières agricoles.
Les conséquences sur les territoires des changements climatiques d’origine anthropique sont variables dans leurs expressions comme dans leurs effets, et les territoires sont inégaux face à ces variations climatiques en termes d’exposition aux effets (fonction de facteurs physiques, sociaux, économiques, culturels, politiques, etc.) comme en termes de capacité de réponse (capacité d’appréhension, d’anticipation, de réparation, etc.).