The high prevalence of Vitamin A deficiency in Zambian population, particularly among the young children of rural areas, has been a consistent phenomenon in the country for a while. In response to this, several government’s policies have, since 1998, been formulated to promote increased intake of the vitamin while encouraging healthy food intake. This policy resulted in the establishment of National Pro- Vitamin A Orange Maize Steering Committee (NPASC), an Innovation Platform (IP) formed in 2010 to promote bio-fortification of maize following.
This paper discusses the key components of the technical and institutional innovations developed to address this food and nutrition security concern in Zambia using locally bred varieties registered with the Seed Control and Certification Institute (SCCI). The institutional collaborations arising from this Innovation Platform has brought together various organizations/institutions in the innovation process and led to the capture of up to 5% of the market share.
The objective of this paper is to show how Value Chain Analysis for Development (VCA4D) applied sustainable development concept for value chain analysis to establish a manageable set of criteria allowing to provide quantitative information, which is desperately lacking in many situations in developing economies, usable by decision makers and in line with policymakers concerns and strategies (the “international development agenda”).
The Policy Compendium for Rural Advisory Services (RAS) is a tool that contributes to filling the gap between the rural advisory services (RAS) policy environment and RAS efforts in the field. It helps direct decisions and facilitate successful policy processes and outcomes in extension and advisory services by making knowledge accessible, fostering synergies and promoting policy processes to improve RAS and rural development. It has two purposes.
La Tunisie cherche à réorienter ses politiques d'Aménagement et de conservation des eaux et des sols (ACES) afin qu'elles gagnent en efficacité, en s'appuyant sur des démarches participatives innovantes. Cette orientation s'inscrit dans des contextes ruraux souvent peu documentés où la dimension environnementale nécessite d'être objectivée. De plus, il existe peu d'espaces de dialogue et de concertation entre les principales catégories d'acteurs des espaces ruraux concernés.
Le renforcement des capacités à innover apparaît comme un nouveau moyen pour assurer un développement durable dans les pays du Sud. Dans le secteur de l'agriculture, l'innovation est essentiellement collective, ce qui appelle les chercheurs à sortir de leur rôle de producteurs de connaissances pour s'engager auprès des acteurs en situation d'innovation. Si une diversité de pratiques de recherche engagée sont apparues, il n'existe cependant pas aujourd'hui une vision claire des différentes façons dont les chercheurs contribuent à l'innovation.
L'innovation est souvent présentée comme l'un des principaux leviers pour promouvoir un développement plus durable et plus inclusif. Dans les domaines de l'agriculture et de l'alimentation, l'innovation est marquée par des spécificités liées à sa relation à la nature, mais aussi à la grande diversité d'acteurs concernés, depuis les agriculteurs jusqu'aux consommateurs, en passant par les services de recherche et de développement.
La R&D agricole considère aujourd’hui les innovations de terrain comme des sources d’idées et de références pour améliorer durablement les modes de production. La « traque de systèmes innovants » et l’évaluation de ces systèmes pour définir les plus performants du point de vue économique et agrienvironnemental nécessitent cependant un travail de mise au point méthodologique, auquel cet article vise à contribuer.
Le projet CALAO – Capitalisation d’expériences d’acteurs pour le développement de techniques agroécologiques résilientes en Afrique de l’Ouest – a été mis en œuvre au cours de l’année 2017 dans le cadre du Projet d’appui à la sécurité alimentaire en Afrique de l’Ouest (PASANAO), financé par l’AFD et dont la maîtrise d’ouvrage est assurée par la CEDEAO.
De nombreux agriculteurs africains pratiquent des formes d'agriculture potentiellement qualifiables de "?biologiques?". Pourtant, la capacité de l'agriculture biologique à répondre aux enjeux de la sécurité alimentaire en Afrique est encore mal connue, car il existe peu de références expérimentales disponibles dans cette région. L'élicitation probabiliste est une méthode permettant de rendre compte de manière précise des connaissances d'experts sur une ou plusieurs quantités d'intérêt, et de décrire les niveaux d'incertitude associés.