Analysis of the role of Global Value Chains (GVC) in accessing knowledge and enhancing learning and innovation. Global Value Chains, Innovation Systems, Governance, Foreign Direct Investment, Learning, Upgrading, Productivity. Three main conclusions emerge from the analytical framework and evidence presented in this paper.
Innovation systems can be defined in a variety of ways: they can be national, regional, sectoral, or technological. They all involve the creation, diffusion, and use of knowledge. Systems consist of components, relationships among these, and their characteristics or attributes. The focus of this paper is on the analytical and methodological issues arising from various system concepts. There are three issues that stand out as problematic. First, what is the appropriate level of analysis for the purpose at hand?
Agricultural innovation in low-income tropical countries contributes to a more effective and sustainable use of natural resources and reduces hunger and poverty through economic development in rural areas. Yet, despite numerous recent public and private initiatives to develop capacities for agricultural innovation, such initiatives are often not well aligned with national efforts to revive existing Agricultural Innovation Systems (AIS).
This paper reviews a recent donor-funded project concerning the introduction of post-harvest technology to poor hill farmers in India. Rather than conform to conventional development aid projects of either a “research” or an “interventionist” nature, it combines both approaches in a research-action program, which has more in common with a business development approach than a formal social science one. An important conclusion is that the work (and apparent success) of the project is consistent with an understanding of development that emphasizes the importance of innovation systems.
The aim of this study was to explore the interactions that exist among agricultural stakeholders in the southwestern highlands of Uganda as a way of identifying opportunities and gaps for operation of Innovation Platforms (IPs) under the proof of concept of Integrated Agricultural Research for Development (IAR4D) research project.
La co-conception de systèmes agricoles innovants est une piste prometteuse pour répondre au défi de l’innovation, notamment pour les exploitations agricoles familiales africaines confrontées à de multiples changements. Mais il faut penser à la place et aux rôles tenus par de multiples acteurs (agriculteurs, conseillers, chercheurs) pour produire les changements souhaités par toutes les parties, et donc réfléchir à la question du partenariat dans le processus.
La façon donc les organismes de recherche et d'appui aux agriculteurs participent aux processus de développement de l'agriculture et du monde rural fait l'objet de débats. Ceux-ci portent à la fois sur la compréhension des besoins réels des agriculteurs et sur les formes de coordination entre les différents acteurs de la production de connaissances traduisibles en actions. Nous proposons d'illustrer cette problématique à partir d'un programme de coopération franco-argentin Innovaciones, Desarrollo, Exploitationes Agropecuarias, Sociedad local (IDEAS), engagé en Argentine en 1995-1996.
Les enjeux liés au changement climatique et à la sécurité alimentaire confortent la nécessité de mettre au point des démarches de conception/évaluation de systèmes durables, qu’il s’agisse d’améliorer les situations existantes ou d’imaginer de nouvelles voies de développement. En régions chaudes, l’élevage remplit aussi des fonctions non productives et doit s’adapter aux aléas et incertitudes.
Ce texte présente les premiers résultats d’une étude sur la contribution de groupes d’agriculteurs familiaux aux processus d’innovation dans trois municipes de la Paraíba (Brésil). L’objectif consistait à identifier le rôle des producteurs et de leurs organisations en matière d’introduction et d’adaptation de techniques agricoles.
La présente note commence par indiquer brièvement en quoi une politique de la concurrence est importante pour les économies en développement et en transition. Elle aborde ensuite certains éléments essentiels de l’établissement d’une culture de la concurrence. Idéalement, ce processus devrait tout d’abord consister en une « évaluation des besoins » dans différents domaines, qui permettra probablement de dresser une liste de mesures à hiérarchiser et à prendre.