Building Agribusiness Capacity in East Timor (BACET) directly contributes to USAID/Timor-Leste’s agriculture and workforce development strategies for economic growth. Though categorized as a capacity building and workforce development activity, many of the key activities of BACET have included infrastructure improvements, which are longer-term in nature. Similarly, teacher training and changed teaching methods have long-term impact.
Building Agribusiness Capacity in East Timor (BACET) directly contributes to USAID/Timor-Leste’s agriculture and workforce development strategies for economic growth. Though categorized as a capacity building and workforce development activity, many of the key activities of BACET have included infrastructure improvements, which are longer-term in nature. Similarly, teacher training and changed teaching methods have long-term impact.
Building Agribusiness Capacity in East Timor (BACET) directly contributes to USAID/Timor-Leste’s agriculture and workforce development strategies for economic growth. Though categorized as a capacity building and workforce development activity, many of the key activities of BACET have included infrastructure improvements, which are longer-term in nature. Similarly, teacher training and changed teaching methods have long-term impact.
Building Agribusiness Capacity in East Timor (BACET) directly contributes to USAID/Timor-Leste’s agriculture and workforce development strategies for economic growth. Though categorized as a capacity building and workforce development activity, many of the key activities of BACET have included infrastructure improvements, which are longer-term in nature. Similarly, teacher training and changed teaching methods have long-term impact.
The USAID Building Agribusiness Capacity in East Timor (BACET) program was extended for three additional years in September 2008. Land O’Lakes gathered feedback from the Ministry of Agriculture, USAID, teachers and students and immediately initiated enhancements to improve the curriculum previously developed to reinforce practical and market-oriented skills.
The Building Agribusiness Capacity in East Timor (BACET) project is designed to create a sustainable educational training program that will produce 150 entry-level agricultural extension specialists, agribusiness managers and/or entrepreneurs.
Dans les régions laitières et bocagères, les exploitations agricoles sont souvent considérées comme les unités élémentaires de structuration de l’espace et du paysage rural. L’étude des logiques d’organisation des pratiques des agriculteurs apparaît ainsi comme une grille d’analyse pertinente des dynamiques de transformation de ces espaces et de ces paysages. Dans les exploitations laitières de l’Ouest Atlantique, les facteurs liés à la morphologie parcellaire (pulvérisation spatiale des parcelles, surface de l’exploitation) jouent un rôle prépondérant.
Les grandes exploitations agricoles créées dans le cadre de la loi de mise en valeur agricole de 1983 dans le Sahara algérien étaient vouées à une production céréalière sous pivot. L’objectif était de développer économiquement des régions sahariennes pour partie marginalisées, ainsi que de réduire la dépendance chronique en céréales du pays. L’État a considérablement investi pour équiper ces exploitations agricoles dans le cadre d’un vaste plan de développement rural. Mais trente ans après la parution de la loi, les réalisations demeurent limitées au regard des objectifs initiaux.
Inscrites sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco pour leur témoignage des techniques préhispaniques d’agriculture sur l’eau, les chinampas de Xochimilco sont le dernier grand espace non urbanisé de la ville de Mexico. Le site est le support d’une multitude de fonctions dont la promiscuité engendre inévitablement des tensions entre les acteurs. Localisées au cœur de la capitale, les chinampas subissent également les effets de la pression urbaine qui tend à concurrencer spatialement les autres activités et à accentuer les dégradations environnementales.
L’agriculture française fait l’objet de critiques du fait des pressions qu’elle exerce sur les ressources naturelles, des transformations qu’elle opère sur les paysages et de la qualité parfois contestée de ses productions. Face aux attentes sociales et aux pressions réglementaires, des agriculteurs ont choisi de s’organiser en réseau pour proposer des pratiques agricoles alternatives. Une véritable dynamique est en œuvre chez ces agriculteurs minoritaires qui cherchent à diffuser leurs expériences en créant de nouveaux liens au sein de la population agricole.