The challenges of providing food security for the developing world have perhaps never been so extreme, with the introduction of new technologies being matched by land degradation, water concerns and the often uncertain impacts of a changing climate. In short, we will need to produce more food on less land. Adding to the problem is the distrust and fear around some new technologies – particularly biotechnologies – that have created a divide between scientists and farmers, decision makers and the public. There have been many attempts to bridge these divides, but few success stories.
Este instrumento busca contribuir con los países al proceso de formulación de políticas públicas diferenciadas para la agricultura familiar, basado fundamentalmente en la construcción participativa, involucrando a los actores sociales y los agentes públicos en la gestión de su propio desarrollo, considerando la viabilidad técnica y política a las decisiones tomadas y a la implementación de soluciones.
Les systèmes semenciers paysans nourrissent le monde et font preuve de résilience face aux catastrophes naturelles. Cependant, ils sont menacés par l’emprise croissante des entreprises sur la nature et par l’accélération de la destruction de la biodiversité agricole. De plus en plus, les sociétés des semences et de l’agrochimie cherchent à privatiser, monopoliser et contrôler les semences en déposant des brevets et en encourageant la marchandisation de la source même de la vie.
Pendant des siècles, les agriculteurs, éleveurs, pêcheurs et sylviculteurs ont développé des systèmes agricoles diversifiés, adaptés à leurs conditions locales, en employant des techniques et des pratiques ingénieuses, éprouvées au fil du temps, afin de fournir un ensemble vital de services sociaux, culturels, écologiques et économiques à l'humanité. Ces «Systèmes ingénieux du patrimoine agricole mondial» (SIPAM) sont des paysages d'une beauté remarquable associant la biodiversité agricole à des écosystèmes résilients et à un précieux patrimoine culturel.
Des changements dans les agendas des politiques publiques des Comités Nationaux de l’Agriculture Familiale des Philippines, du Honduras, du Burkina Faso et du Sénégal seront soutenus techniquement et économiquement. La création d’un nouveau Comité au Tchad sera également appuyée.