Súmario: 1 Antecedentes. 2 El hambre cero. 3 Conceptos y principios. 4 Estado y sociedad en la promoción de la seguridad alimentaria y nutricional. 5 Desarrollos y desafíos en el combate a la inseguridad alimentaria y nutricional. 6 Características del sistema nacional de seguridad alimentaria y nutricional. 7 Directrices de la política nacional de seguridad alimentaria y nutricional. 8 Biocombustibles, cambios climáticos y seguridad alimentaria y nutricional. 9 Brasil en el escenario internacional. 10 Principales desafíos.
This report presents the main results of the EU-funded IN-SIGHT project ‘Strengthening Innovation Processes for Growth and Development’. The authors sketched out a conceptual framework and knowledge base for a more effective European policy on innovation in agriculture and rural areas. Both conceptual framework and knowledge base are consistent with the new European agenda for agricultural and rural policy and sensitive to the diversity of the European agricultural and rural systems.
The purpose of this report is to review the major effects of climate change on the agricultural sector; to examine the causes of vulnerability; and to suggest a range of potential options and investment opportunities for supporting adaptation efforts and, more generally, for building adaptive capacity. This report primarily focuses on appropriate strategies for adapting to climate change impacts that are projected to occur over the next one to two decades, although several issues covered in this report are important for long-term adaptation needs as well.
Este documento trata de estrategias de adaptación de los pequeños agricultores para enfrentar el cambio climático.
Contiene: 1 Escenarios sobre la evolución de los biocombustibles según los cambios en la matriz energética global. 2 Potencialidades, ventajas comparativas y estrategias por tipo de países. 3 Posibles impactos socioeconómicos de la producción de biocombustibles. 4 Posibles impactos ambientales. 5 Implicaciones institucionales y geopolíticas.
L’agriculture de conservation (AC) obéit à trois principes : travail du sol minimal, couverture du sol permanente et multiculture. Partant de ses avantages avérés pour l’écologie du sol, la séquestration de carbone et son adoption massive dans quelques régions du monde, elle est présentée par ses promoteurs comme un système durable convenant à tous contextes. Dès lors elle a été mondialement diffusée au nom du développement durable.
L’agriculture paysanne, valorisée dans le rapport remis par les experts de l’IAASTD, participe au développement durable. Forte utilisatrice de main d’œuvre, caractérisée par une utilisation raisonnée des intrants sur des cultures extensives, elle participe également au maintien du tissu social rural. L’agriculture paysanne est en général familiale. Les membres de la famille sont soucieux de préserver l’exploitation pour les générations futures.
Le gouvernement de Lula a considérablement amplifié et diversifié le Programme d’Appui à l’Agriculture Familiale (PRONAF), créé par le gouvernement Fernando Henrique Cardoso en 1995. Ce choix affirmé sur la longue durée pour l’agriculture familiale, peut surprendre dans un Brésil qui a toujours, tout au long de son histoire, privilégié l’agriculture « d’entreprise » : latifundia et entreprises agricoles.
C’est un pays-continent, planté au milieu de l’Afrique centrale, dont les possibilités agricoles et rurales sont énormes. Les dirigeants de la République démocratique du Congo doivent cependant dépasser une vision extractive de l’économie et renforcer les véritables forces productrices, essentiellement agricoles, tout en sauvegardant le fabuleux patrimoine naturel du pays. En élaborant un Code agricole, le gouvernement congolais affiche l’ambition de se doter de moyens pour relancer l’agriculture, la pêche et l’élevage.
Au moins 2,5 millions d’hectares de terres ont été achetés en Afrique par des états étrangers, des multinationales ou des fonds de pension, soit l’équivalent du territoire de la Belgique. C’est ce que révèle un rapport de la FAO – l’Agence des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation. La FAO s’inquiète des violations des droits des paysans que ces accaparements de terres peuvent entraîner, et s’interroge sur la participation des populations locales aux bénéfices générés. Mais elle y voit avant tout une perspective de développement. Au profit de qui ?