The Asia-Pacific Association of Agricultural Research Institutions (APAARI) in collaboration with the Australian Centre for International Agricultural Research (ACIAR), Department of Agriculture (DOA), Thailand, Food and Agriculture Organization of the United Nations – Regional Office for Asia and the Pacific (FAO RAP), Global Forum on Agricultural Research (GFAR) and International Food Policy Research Institute (IFPRI), organized a High Level Policy Dialogue (HLPD) on Investment in Agricultural Research for Sustainable Development in Asia and the Pacific on 8-9 December 2015 in Bangkok, Th
The contributions and dynamic interaction of thousands of stakeholders from all sectors have created the GCARD (Global Conference on Agricultural Research for Development) Roadmap, providing a clear path forward for all involved. The Roadmap highlights the urgent changes required in Agricultural Research for Development (AR4D) systems globally, to address worldwide goals of reducing hunger and poverty, creating opportunity for income growth while ensuring environmental sustainability and particularly meeting the needs of resource-poor farmers and consumer.
TAP and its partners carried out regional surveys in Asia, Africa and Central America to assess priorities, capacities and needs in national agricultural innovation systems. This document provides a Regional synthesis report on capacity needs assessment for agricultural innovation in Africa. FARA was selected as Recipient Organization by FAO to facilitate TAP implementation in Africa. This is mainly due to its position as the umbrella organization bringing together and forming coalitions of major regional stakeholders in agricultural research and development.
These recommendations are a compilation of 2 regional studies at sub-Saharan Africa level which focused on research and technology transfer in the field of rainwater harvesting irrigatio nmanagement on one hand (section 3), and effective policy recommendations on the use of rainwater for off-season small-scale irrigation on the other (section 4). The regional studies upon which this transnational study is based come from the analysis of national studies in Ethiopia, Kenya, Mozambique and Zimbabwe.
« Semences en résistance » est une animation développée dans le cadre du documentaire « Semences : bien commun ou propriété des entreprises ? », réalisé en 2017 par un collectif d'organisations latino-américaines qui œuvrent, à l’échelle de tout le continent, à la défense des semences indigènes comme fondement de la souveraineté alimentaire des peuples. Nous partageons aujourd'hui cette animation afin d’en faire un outil supplémentaire pour vous former et former les autres sur cette problématique.
"Seeds in resistance" is an animation developed in connection with the documentary "Seeds: commons or corporate property?", produced in 2017 by a collective of Latin American organisations from all across the continent that are working to defend native seeds as the basis of peoples' food sovereignty. We are sharing this animation as one more tool to help people understand and become familiar with these issues.
Le secteur agricole est le premier employeur au niveau mondial et les actifs familiaux forment l'essentiel de cette force de travail. L'agriculture familiale produit plus de 70 % de la production alimentaire et gère une proportion considérable des ressources naturelles. Ce modèle d'agriculture caractérisé par sa diversité et sa résilience, a la capacité de proposer des réponses adaptées aux défis alimentaires, sociaux et environnementaux. La reconnaissance et le soutien aux agricultures familiales sont indispensables pour lutter contre la pauvreté et construire un développement durable.
Les systèmes semenciers paysans nourrissent le monde et font preuve de résilience face aux catastrophes naturelles. Cependant, ils sont menacés par l’emprise croissante des entreprises sur la nature et par l’accélération de la destruction de la biodiversité agricole. De plus en plus, les sociétés des semences et de l’agrochimie cherchent à privatiser, monopoliser et contrôler les semences en déposant des brevets et en encourageant la marchandisation de la source même de la vie.
2015 a été une année marquante pour l’avenir de la planète et donc pour l’avenir de chaque femme, chaque homme, chaque enfant, fille ou garçon, aux quatre coins du monde. Deux événements importants – le Sommet des Nations Unies sur le développement durable 2015 et la COP21, sur le développement et le changement climatique, ont donné lieu à des engagements concrets et sans précédent à l’échelle mondiale pour éradiquer la pauvreté d’ici à 2030 et promouvoir la protection de l’environnement.
Défis Sud avait déjà consacré un numéro spécial au « genre » en développement en 2005. Neuf ans plus tard, dans ce numéro « genre et transformations de l’agriculture familiale », la revue entend croiser les dynamiques présentes dans ce type d’agriculture en abordant les rapports femmes-hommes, les relations de pouvoir et les changements sensibles dans les interactions sociales, culturelles et professionnelles entre femmes et hommes dans les exploitations agricoles familiales.