En Europe, depuis trois décennies, la prise en compte des enjeux environnementaux dans les politiques agricoles se traduit, en partie, par la conception de Mesures agrienvironnementales (MAE), visant à promouvoir le changement de pratiques. En France, ces mesures ont été mobilisées dans différents modèles de contrats avec les agriculteurs, passant d’un paradigme basé sur la subvention de la multifonctionnalité d’une exploitation agricole à une compensation des surcoûts liés à l’adoption de nouvelles pratiques plus vertueuses au niveau des parcelles.
Cet article aborde la mise en place d’un projet d’agroforesterie villageoise, pour la gestion intégrée des ressources naturelles, dans le hameau de Duale Mitterrand (52 ménages) situé sur le plateau des Batéké (République démocratique du Congo). Il repose sur un travail de terrain effectué entre février et mai 2012 dans le cadre du mémoire de fin d’études du master en sciences et gestion de l’environnement de l’Université Libre de Bruxelles (ULB).
Les populations rurales sédentaires de la commune de Hombori (Mali) pratiquent presque toutes la culture de mil associée au petit élevage non transhumant. Au-delà des contraintes environnementales d’une région semi-aride, le maintien de l’agro-élevage repose sur une double maitrise, des territoires et des ressources, l’une et l’autre ne pouvant se confondre.
Le sud du Brésil qui possède un bon potentiel naturel en raison de son climat chaud et humide et de son relief favorable est voué principalement à l’élevage et aux cultures de soja, de riz et de maïs. Cette région, comme d’autres au Brésil, participe à la production de denrées agricoles pour le marché national et international. Elle est ainsi soumise à l’intensification des pratiques dont les impacts sur l’environnement sont notoires. L’étude concerne plus particulièrement le bassin versant de l’Ibicuí (46 800 km²), situé dans le sud-ouest de l’État de Rio Grande do Sul.
L’agriculture de conservation (AC) obéit à trois principes : travail du sol minimal, couverture du sol permanente et multiculture. Partant de ses avantages avérés pour l’écologie du sol, la séquestration de carbone et son adoption massive dans quelques régions du monde, elle est présentée par ses promoteurs comme un système durable convenant à tous contextes. Dès lors elle a été mondialement diffusée au nom du développement durable.
Les conventions locales peuvent être définies comme des accords légitimes négociés entre plusieurs parties prenantes (stakeholders) dans une perspective de régulation des ressources naturelles – en termes de contrôle, d’accès, d’appropriation, d’usage et d’exploitation – et de l’environnement. Au Sahel, bien qu’elles soient en vogue et jouissent davantage d’attention chez les décideurs, elles constituent des instruments encore peu exploités dans le contexte actuel de la décentralisation (Diallo, 2003).
The objective of this chapter is to describe the processes and experiences of forming country project teams, partnership models and approaches to reach farmers in Zimbabwe, Zambia and Malawi. This will improve understanding of methods of setting up sustainable partnerships that exist beyond donor-funded projects
In eastern Zambia, population growth has reduced per-capita land availability to such an extent that traditional bush fallows can no longer be practiced, and low soil fertility is a major constraint to crop production. Improved fallows (IF) based on leguminous trees are a low cash-input agroforestry practice to restore soil fertility. The objective of the study reported here was to assess the adoption of IF by farmers who tested the technology, including the extent to which the technology is practiced relative to its potential scale.
En el marco del convenio 4600004063 “Fortalecimiento Institucional de las entidades que prestan el servicio de asistencia técnica municipal en la transferencia de tecnología y extensión agropecuaria en el Departamento de Antioquia”, realizado entre la Secretaria de Agricultura y Desarrollo Rural del departamento de Antioquia y la Universidad de Antioquia, el cual tuvo como finalidad el fortalecimiento de la Asistencia Técnica Directa Rural en el departamento durante el segundo semestre del año 2015; se realizó un proceso de capacitación orientado al fortalecimiento de técnicos y líderes rur
La Secretaria de Agricultura y Desarrollo Rural del Departamento de Antioquia y la Facultad de Ciencias Agrarias de la Universidad de Antioquia, realizaron un proceso de capacitación en el marco del convenio 4600004063 “Fortalecimiento Institucional de las entidades que prestan el servicio de asistencia técnica municipal en la transferencia de tecnología y extensión agropecuaria en el Departamento de Antioquia”, el cual tuvo como finalidad el fortalecimiento de la Asistencia Técnica Directa Rural en el departamento durante el segundo semestre del año 2015.