African agriculture is currently at a crossroads, at which persistent food shortages are compounded by threats from climate change. But, as this book argues, Africa can feed itself in a generation and help contribute to global food security. To achieve this Africa has to define agriculture as a force in economic growth by: advancing scientific and technological research; investing in infrastructure; fostering higher technical training; and creating regional markets.
Le document de synthèse fournit une synthèse des concepts et des principes du cadre commun développé dans le cadre de la Plate-forme pour l'agriculture tropicale (TAP). L'objectif du Cadre Commun de la TAP est de promouvoir une meilleure cohérence et un impact plus fort du renforcement des capacités (RC) en soutien aux systèmes d'innovation agricole (AIS) sous les tropiques. Développé en 2015 à travers un processus hautement participatif, il a été convenu que le Cadre devrait fournir des bases conceptuelles et des indications pratiques.
El Documento de Síntesis provee una síntesis de los conceptos y principios del Marco Común desarrollado dentro del contexto de la Plataforma de la Agricultura Tropical (TAP, por sus siglas en inglés). El objetivo del Marco Común de la TAP es promover una mayor coherencia y un mayor impacto del desarrollo de capacidades en apoyo a la innovación agrícola en los trópicos. El Marco Común fue desarrollado en el 2015 a través de un proceso altamente participativo, en el cual se acordó que el Marco debería proporcionar las bases conceptuales y una guía operativa.
The Synthesis Document provides a synthesis of concepts and principles of the Common Framework developed under the Tropical Agriculture Platform (TAP). The objective of the TAP Common Framework is to promote better coherence and greater impact of capacity development in support of agricultural innovation in the Tropics. Developed in 2015 through a highly participatory process, it was agreed that the Framework should provide conceptual underpinnings and practical guidance.
Aujourd’hui, l’agriculture familiale fait preuve de dynamisme. Pour prouver qu’elle est un modèle à défendre, il faut convaincre les États de mener des politiques volontaristes et souveraines de rénovation de l’agriculture. Une politique efficace devra identifier les forces et les faiblesses de l’agriculture familiale, lutter contre l’accaparement des terres, encourager les jeunes paysans et les paysannes. Prendre en compte les différentes dimensions de l’agriculture familiale est nécessaire pour mener à une transformation efficace.
Selon Olivier De Schutter, l’agroécologie peut doubler la production alimentaire en 10 ans, tout en réduisant la pauvreté rurale et en apportant des solutions au changement climatique. Au Burkina Faso, des initiatives et projets agroécologiques voient le jour. Ce reportage de 17 minutes part à la rencontre de ces praticiens de l’agroécologie.
In this paper, the authors describe the adaptation and validation of a project-level WEAI (or pro-WEAI) that agricultural development projects can use to identify key areas of women’s (and men’s) disempowerment, design appropriate strategies to address identified deficiencies, and monitor project outcomes related to women’s empowerment. The 12 pro-WEAI indicators are mapped to three domains: intrinsic agency (power within), instrumental agency (power to), and collective agency (power with). A gender parity index compares the empowerment scores of men and women in the same household.
The world’s population is likely to reach 9 billion by the middle of this century. The Food and Agriculture Organization of the United Nations (FAO) believes that 60 per cent more food will be needed by 2050 to sustain all these people. Where possible, this food should be produced where it is needed – in developing countries.
La population mondiale atteindra probablement les neuf milliards de personnes d’ici le milieu du siècle. Selon les estimations de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), il faudrait augmenter la production alimentaire de 60 pour cent pour les nourrir. Ces produits alimentaires supplémentaires devraient dans l’idéal être produits là où ils sont censés être consommés, c’està-dire dans les pays en développement. Pour y parvenir, ces pays doivent augmenter sensiblement leur production.
En matière de semences, on oppose souvent un modèle orienté vers le business à un modèle orienté vers l’agriculture paysanne. Ces deux modèles ont des implications socio-économiques différentes, aussi bien en termes d’emplois, que d’autonomie des agriculteurs ou de biodiversité. Les agricultures paysannes des pays du Sud ont-elles le poids et l’influence politique nécessaires pour faire prévaloir leurs modèles semenciers ? C’est la question que nous explorons dans ce dossier.