This brief provides an overview of the monitoring and evaluation (M&E) system of the CGIAR Research Program on Aquatic Agricultural Systems (AAS) and describes how the M&E system is designed to support the program to achieve its goals. The AAS program aims to improve the lives of 22 million people dependent upon aquatic agricultural systems by 2024 through research in development.
This paper (Part I) present a case study of work conducted by the International Centre for Tropical Agriculture (CIAT) to adapt network mapping techniques to a rural and developing country context. It reports on work in Colombia to develop a prototype network diagnosis tool for use by service providers who work to strengthen small rural groups. It is complemented by a further paper in this issue by Louise Clark (Part II) which presents work to develop a network diagnosis tool for stakeholders involved in agricultural supply chains in Bolivia.
The articles in the dossier present different approaches to supporting farmer-led research, ranging from partnerships between small-scale farmer organisations and research institutions, to alliances of farmer groups, nongovernmental organisations and researchers, to constellations in which farmer organisations directly contract researchers. The articles highlight some innovations that have emerged from these processes and – more important still – show new ways of organising research so that it strengthens innovative capacities at grassroots level.
L’alimentation en eau et la protection des milieux aquatiques sont confrontées aux pollutions diffuses d’origine agricole dans le nord-ouest de la France. Les politiques de gestion des ressources en eau s’appuient à présent sur la participation des agriculteurs afin de concevoir des solutions adaptées aux territoires. En effet, si la réglementation est nécessaire, elle n’est pas suffisante pour atteindre une qualité satisfaisante sur de nombreux bassins versants fortement pollués par les nitrates, le phosphore ou les produits phytosanitaires.
Participatory Impact Pathways Analysis (PIPA) is a practical approach to planning, monitoring and evaluation, developed for use with complex research-for-development projects. PIPA begins with a participatory workshop where stakeholders make explicit their assumptions about how their project will make an impact, and produce an ‘Outcomes logic model’ and an ‘Impact logic model’. These two logic models provide an ex-ante framework of predictions of impact that can also be used in priority setting and ex-post impact assessment.
The CGIAR Research Program on Aquatic Agricultural Systems (AAS) is pursuing a Research in Development approach that emphasizes the importance of embedding research in the development context. Reflecting this emphasis the six elements of this approach are a commitment to people and place, participatory action research, gender transformative research, learning and networking, partnerships, and capacity building. It is through the careful pursuit of these six elements that the program is believed to achieve the desired development outcomes.
L’agriculture française fait l’objet de critiques du fait des pressions qu’elle exerce sur les ressources naturelles, des transformations qu’elle opère sur les paysages et de la qualité parfois contestée de ses productions. Face aux attentes sociales et aux pressions réglementaires, des agriculteurs ont choisi de s’organiser en réseau pour proposer des pratiques agricoles alternatives. Une véritable dynamique est en œuvre chez ces agriculteurs minoritaires qui cherchent à diffuser leurs expériences en créant de nouveaux liens au sein de la population agricole.
L’Agriculture de Conservation est un système s’inscrivant dans la démarche de l’agroécologie, fondé sur le non-labour, la couverture permanente du sol par des végétaux et des rotations longues et diversifiées. Le système vise à améliorer la productivité sur le long terme en respectant les services écosystémiques générés par l’activité biologique du sol et la matière organique qu’il contient. Les techniques de non-labour se sont développées sur le continent américain et en Australie. Elles prennent à présent de l’ampleur en Europe.
Le semis direct est un système de production fondé sur le non-travail du sol. Il intègre une série de pratiques agricoles qui permettent de protéger les sols cultivés de l’érosion, de réduire les consommations de carburants, voire d’augmenter les rendements. Le large succès du semis direct au Brésil, contribue à la compétitivité et à la forte croissance de ses productions tout en préservant les sols. Le système complet du semis direct sous couvert est fondé sur trois principes : le non-labour, la couverture permanente du sol et des rotations culturales.
L’ouest du Rio Grande do Sul est dominé par la culture du soja, du riz et par l’élevage bovin. Dans la partie sableuse, le milieu est affecté par des phénomènes d’érosion produisant des modelés éoliens spectaculaires (arenização) rappelant dans l’imaginaire ceux des déserts. La production agricole est importante ce qui engendre des prélèvements d’eau pour l’irrigation du riz, mais aussi l’utilisation de pesticides pour l’ensemble des cultures. La gestion durable des ressources en eau et en sol de cette région nécessite la mise en place d’action de conservation.