This report is part of the AFRHINET project under the ACP-EU Cooperation Programme in Science and Technology (S&T II). The overall aims of the project are to enhance options for sustainable integration of rainwater harvesting for irrigation through understanding adoption constraints and developing networks for capacity building and technology transfer. The African partners are Addis Ababa University and WaterAid-Ethiopia in Ethiopia, University of Nairobi and ICRAF-Searnet in Kenya, Eduardo Mondlane University in Mozambique, and University of Zimbabwe and ICRISAT-Zimbabwe in Zimbabwe.
This study has been produced with the overall goal to document and analyse exisiting best practices in the field of RWHI management in sub-Saharan Africa, with a special focus on Ethiopia, Kenya, Mozambique and Zimbabwe. This is meant to determine the suitability of RWHI management under multivariate biophysical and socioeconomic conditions. The best practices include specific information and know-how on the performance, cost-efficiency and impacts of RWHI technologies.
These advanced training materials have been produced to foster the capacity of practitioners from private, nongovernmental and public sectors on one hand, and academics and scientists on the other, to practically implement cost-efficient RWHI technologies and practices in arid and semi-arid areas. Therefore, these training materials intend to provide the required information to support proper planning, design and construction of cost-efficient RWHI technologies and practices, with special emphasis on the specific problems encountered in Ethiopia, Kenya, Mozambique and Zimbabwe.
These training materials have been produced to foster the capacity of key members of local communities to practically implement RWHI systems in a cost-efficient manner. The specific target group of these capacity building materials are local community members who are directly involved in the replication and scale-up of RWHI technologies and practices, i.e.
Ce texte présente les premiers résultats d’une étude sur la contribution de groupes d’agriculteurs familiaux aux processus d’innovation dans trois municipes de la Paraíba (Brésil). L’objectif consistait à identifier le rôle des producteurs et de leurs organisations en matière d’introduction et d’adaptation de techniques agricoles.
Le gouvernement de Lula a considérablement amplifié et diversifié le Programme d’Appui à l’Agriculture Familiale (PRONAF), créé par le gouvernement Fernando Henrique Cardoso en 1995. Ce choix affirmé sur la longue durée pour l’agriculture familiale, peut surprendre dans un Brésil qui a toujours, tout au long de son histoire, privilégié l’agriculture « d’entreprise » : latifundia et entreprises agricoles.
L’agriculture française fait l’objet de critiques du fait des pressions qu’elle exerce sur les ressources naturelles, des transformations qu’elle opère sur les paysages et de la qualité parfois contestée de ses productions. Face aux attentes sociales et aux pressions réglementaires, des agriculteurs ont choisi de s’organiser en réseau pour proposer des pratiques agricoles alternatives. Une véritable dynamique est en œuvre chez ces agriculteurs minoritaires qui cherchent à diffuser leurs expériences en créant de nouveaux liens au sein de la population agricole.
L’Agriculture de Conservation est un système s’inscrivant dans la démarche de l’agroécologie, fondé sur le non-labour, la couverture permanente du sol par des végétaux et des rotations longues et diversifiées. Le système vise à améliorer la productivité sur le long terme en respectant les services écosystémiques générés par l’activité biologique du sol et la matière organique qu’il contient. Les techniques de non-labour se sont développées sur le continent américain et en Australie. Elles prennent à présent de l’ampleur en Europe.
Le sud du Brésil qui possède un bon potentiel naturel en raison de son climat chaud et humide et de son relief favorable est voué principalement à l’élevage et aux cultures de soja, de riz et de maïs. Cette région, comme d’autres au Brésil, participe à la production de denrées agricoles pour le marché national et international. Elle est ainsi soumise à l’intensification des pratiques dont les impacts sur l’environnement sont notoires. L’étude concerne plus particulièrement le bassin versant de l’Ibicuí (46 800 km²), situé dans le sud-ouest de l’État de Rio Grande do Sul.
El estudio buscó caracterizar dos elementos complementarios en el subcontinente latinoamericano: i) el surgimiento de políticas públicas específicas para el sector de la AF, y ii) la forma en que las políticas agrarias clásicas afectan ese sector. El documento consta de dos partes. La primera presenta un análisis transversal del conjunto de estudios de caso nacionales y la segunda parte presenta dichos estudios. Los trabajos de síntesis nacional fueron realizados a partir de la aplicación de una guía de análisis común que comportaba cinco bloques: 1.