Multi-stakeholder (MS) platforms, such as innovation platforms (IP), public-private partnerships (PPP) are becoming more common but what they can achieve in innovation and scaling is limited and depends on different factors. This poster and the broader research paper provide evidence what MS platforms can and cannot achieve in their early phases and give insights about effectiveness and efficiency of Agricultural Research for Development (AR4D) interventions such as CGIAR research programs (CRPs) in low and middle income countries.
Consumer concerns are leading to changes in China’s food markets and demands for higher quality food. In this article, we explore the role of farmer cooperatives in China in linking farmers with high-quality food markets. We consider food quality a social construct and farmer cooperatives key players in the ‘quality battlefield’. Using a case study approach, we investigate the everyday practices of three farmer cooperatives.
Innovation platforms are fast becoming part of the mantra of agricultural research and development projects and programs with an innovation objective.
Multi-stakeholder platforms (MSPs) have been playing an increasing role in interventions aiming to generate and scale innovations in agricultural systems. However, the contribution of MSPs in achieving innovations and scaling has been varied, and many factors have been reported to be important for their performance. This paper aims to provide evidence on the contribution of MSPs to innovation and scaling by focusing on three developing country cases in Burundi, Democratic Republic of Congo, and Rwanda.
Tomando el caso de la agricultura holandesa como ejemplo, en este documento se hace un análisis del surgimiento y el papel de los gestores sistémicos de innovación en el estímulo de la interacción al interior del sistema de innovación agrícola y el desarrollo de la capacidad de innovación, además de reflexionar sobre su posible función en la agricultura de los países en vías de desarrollo y emergentes así como en la forma en que se puede promover su surgimiento y operación.
Le semis direct est un système de production fondé sur le non-travail du sol. Il intègre une série de pratiques agricoles qui permettent de protéger les sols cultivés de l’érosion, de réduire les consommations de carburants, voire d’augmenter les rendements. Le large succès du semis direct au Brésil, contribue à la compétitivité et à la forte croissance de ses productions tout en préservant les sols. Le système complet du semis direct sous couvert est fondé sur trois principes : le non-labour, la couverture permanente du sol et des rotations culturales.
L’ouest du Rio Grande do Sul est dominé par la culture du soja, du riz et par l’élevage bovin. Dans la partie sableuse, le milieu est affecté par des phénomènes d’érosion produisant des modelés éoliens spectaculaires (arenização) rappelant dans l’imaginaire ceux des déserts. La production agricole est importante ce qui engendre des prélèvements d’eau pour l’irrigation du riz, mais aussi l’utilisation de pesticides pour l’ensemble des cultures. La gestion durable des ressources en eau et en sol de cette région nécessite la mise en place d’action de conservation.
Au Brésil, la diffusion du modèle de gestion intégrée des ressources en eau varie fortement selon l’environnement socio-territorial. Le Sud présente un dynamisme certain s’appuyant sur des initiatives locales. Les acteurs locaux sont organisés en comité de bassin et développent des actions pour améliorer la gestion des ressources. Dans le Nordeste, la marche vers ces nouveaux modes de gestion paraît difficile tant les inerties sociales et culturelles freinent un partage réel du pouvoir, des ressources et des coûts.