As part of the Capacity Development for Agricultural Innovation System Project (CDAIS) a Policy Dialogue process is being implemented in the 8 pilot countries.
The purposes of the Policy Dialogue is to contribute to the improvement of the process of development or implementation of policies that promote agricultural innovation through improved dialogue and interaction among key stakeholders and, ultimately to contribute to the enhancement of the enabling environment for agricultural innovation.
These guidelines have been elaborated by the CDAIS project to organize policy consultations at national level. In particular, they can be used by project teams (e.g. project managers, facilitators, policy consultants) for the planning of national policy dialogue events to discuss policy related issues emerged during the local consultations at innovation partnership level and require attention of national policy makers.
These guidelines have been elaborated by the CDAIS project to organize policy consultations at innovation partnership level. They can be used by project teams (e.g. project managers, facilitators, policy consultants) to plan and conduct workshops with representatives of the innovation partnership to discuss policy related issues that hinder the innovation process in a particular partnership.
Capacity building for integrating gender in research and development (R&D) on agricultural innovations often remains with organizing single gender training. Alternatively, it is often limited to hiring a gender specialist to allocate a small amount of her/his time to the project. This has proofed to be ineffective and a heavy burden for gender specialists. This success story presents an innovative approach to capacity development, which successfully changed agricultural researchers’ attitude to gender in Southeast Asia, with a specific focus in Vietnam.
The experiences shared in this book of Conversations of Change capture the outcomes of three years’ work conducted by the eight CDAIS country teams from Angola, Bangladesh, Burkina Faso, Ethiopia, Guatemala, Honduras, Laos and Rwanda. Collected between January and March 2019, they provide insights and perspectives of different actors engaged in the different capacity strengthening processes, within individuals and innovation niche partnerships, and at organisational and national level.
Lors de l'intervention d'une plate-forme d'innovation (groupe d'acteurs concernés) dans un domaine donné, nous avons tendance à attribuer les causes du changement aux actions de cette plate-forme. Cet article utilise le cas d'une plate-forme d'innovation dans le secteur du karité au Mali pour analyser comment les plates-formes d'innovation produisent les résultats escomptés.
La façon donc les organismes de recherche et d'appui aux agriculteurs participent aux processus de développement de l'agriculture et du monde rural fait l'objet de débats. Ceux-ci portent à la fois sur la compréhension des besoins réels des agriculteurs et sur les formes de coordination entre les différents acteurs de la production de connaissances traduisibles en actions. Nous proposons d'illustrer cette problématique à partir d'un programme de coopération franco-argentin Innovaciones, Desarrollo, Exploitationes Agropecuarias, Sociedad local (IDEAS), engagé en Argentine en 1995-1996.
Ce texte présente les premiers résultats d’une étude sur la contribution de groupes d’agriculteurs familiaux aux processus d’innovation dans trois municipes de la Paraíba (Brésil). L’objectif consistait à identifier le rôle des producteurs et de leurs organisations en matière d’introduction et d’adaptation de techniques agricoles.
L'article propose d'utiliser le concept de sécurisation alimentaire pour étudier les actions et processus qui améliorent une situation alimentaire, plutôt que celui de sécurité alimentaire qui se réfère avant tout à la satisfaction de besoins alimentaires. Dans une première partie, ces deux concepts sont précisés et discutés. La sécurité alimentaire est caractérisée selon plusieurs dimensions : disponibilités, conditions d'accès, qualités des aliments, stabilité, mais aussi objectifs sociaux et politiques.
La consommation de produits certifiés n’est plus l’apanage des pays développés. Au Kenya, les premiers marchés biologiques sont apparus à Nairobi en 2006. Ils sont approvisionnés par des maraîchers, confrontés à une diversité de défis : construire une certification biologique crédible, garantir la fraîcheur des produits et composer avec l’hétérogénéité des attentes des consommateurs. À partir de données d’enquête et du cadre analytique des coûts de transaction, nous analysons l’organisation des marchés de 2006 à 2013.