Cette étude a été menée dans le cadre du projet PAEPARD ou Plateforme pour un partenariat Afrique-Europe dans le domaine de la recherche agricole pour le développement, projet financé à 80% par la Commission européenne avec pour objectif de consolider la collaboration entre l’Afrique et l’Europe dans le domaine de la Recherche Agricole pour le Développement.
Le projet CALAO – Capitalisation d’expériences d’acteurs pour le développement de techniques agroécologiques résilientes en Afrique de l’Ouest – a été mis en œuvre au cours de l’année 2017 dans le cadre du Projet d’appui à la sécurité alimentaire en Afrique de l’Ouest (PASANAO), financé par l’AFD et dont la maîtrise d’ouvrage est assurée par la CEDEAO.
La production et la commercialisation de lait en Afrique de l’Ouest fait partie intégrante de l’économie et du mode de vie des familles d’éleveurs ruraux. La filière présente des potentiels de croissance certains avec un cheptel important, un secteur de la transformation dynamique et des débouchés en forte augmentation du fait de la croissance démographique et de l’urbanisation. Cette filière lait local est cependant aux prises à de nombreuses difficultés internes qui limitent fortement son développement.
2015 a été une année marquante pour l’avenir de la planète et donc pour l’avenir de chaque femme, chaque homme, chaque enfant, fille ou garçon, aux quatre coins du monde. Deux événements importants – le Sommet des Nations Unies sur le développement durable 2015 et la COP21, sur le développement et le changement climatique, ont donné lieu à des engagements concrets et sans précédent à l’échelle mondiale pour éradiquer la pauvreté d’ici à 2030 et promouvoir la protection de l’environnement.
Dans le cadre d’un programme financé par l’Union Européenne, les ONG GLOPOLIS, SOS FAIM et VECO et leurs partenaires paysans concernés ont mené plusieurs études sur les filières de production de riz dans 5 pays d’Afrique de l’ouest : le Bénin, le Burkina Faso, le Mali, le Niger et le Sénégal.
Les conventions locales peuvent être définies comme des accords légitimes négociés entre plusieurs parties prenantes (stakeholders) dans une perspective de régulation des ressources naturelles – en termes de contrôle, d’accès, d’appropriation, d’usage et d’exploitation – et de l’environnement. Au Sahel, bien qu’elles soient en vogue et jouissent davantage d’attention chez les décideurs, elles constituent des instruments encore peu exploités dans le contexte actuel de la décentralisation (Diallo, 2003).
Des changements dans les agendas des politiques publiques des Comités Nationaux de l’Agriculture Familiale des Philippines, du Honduras, du Burkina Faso et du Sénégal seront soutenus techniquement et économiquement. La création d’un nouveau Comité au Tchad sera également appuyée.
The Guidance Note on Operationalization provides a brief recap of the conceptual underpinnings and principles of the TAP Common Framework as well as a more detailed guide to operationalization of the proposed dual pathways approach. It offers also a strategy for monitoring and evaluation as well as a toolbox of select tools that may be useful at the different stages of the CD for AIS cycle.
The Conceptual Background provides an in-depth analysis of the conceptual underpinnings and principles of the TAP Common Framework. It is also available in French and Spanish.
The first phase in the development of the Common Framework on Capacity Development for Agricultural Innovation systems (CD for AIS) consisted of the review of the existing literature, building up a repository of relevant documentation on agricultural innovation in general and AIS and CD for AIS. This report summarizes this first phase. In particular, Section 1 covers this brief introduction. Sections two and three focus on the review of relevant literature, presenting the methodology used and the structure of the repository itself.