La présente note commence par indiquer brièvement en quoi une politique de la concurrence est importante pour les économies en développement et en transition. Elle aborde ensuite certains éléments essentiels de l’établissement d’une culture de la concurrence. Idéalement, ce processus devrait tout d’abord consister en une « évaluation des besoins » dans différents domaines, qui permettra probablement de dresser une liste de mesures à hiérarchiser et à prendre.
Le présent document a reconnu l’existence d’un consensus international croissant au sujet de l’importance de l’objectif de renforcement des capacités et de la façon dont il a des chances d’être réalisé. L’accent a été mis sur la reconnaissance du fait que le renforcement des capacités est un processus endogène, sur l’importance de l’appropriation des politiques nationales qui en résulte, et sur la nécessité pour les donneurs de se limiter à encourager et à soutenir les efforts du pays.
Ce document offre un cadre de réflexion sur le renforcement des capacités, établi à partir des principaux enseignements tirés de l’expérience, qu’elle soit positive ou négative.
Farm workers in developing countries often belong to the poorest of the poor. They typically face low wages, informal working arrangements, and inadequate social protection. Written employment contracts with clearly defined rights and obligations could possibly help, but it is not clear how such contracts could be introduced and promoted in traditional peasant environments. To address this question, we develop and implement a randomized controlled trial with farmers in Côte d’Ivoire.
Poverty is prevalent in the small-farm sector of many developing countries. A large literature suggests that contract farming —a preharvest agreement between farmers and buyers— can facilitate smallholder market participation, improve household welfare, and promote rural development. These findings have influenced the development policy debate, but the external validity of the extant evidence is limited. Available studies typically focus on a single contract scheme or on a small geographical area in one country.
The publication reviews forty years of development experience and concludes that donors and partner countries alike have tended to look at capacity development as mainly a technical process, or as a transfer of knowledge or institutions from North to South.