Le renforcement des capacités est maintenant d’une actualité brûlante en Afrique. Avec d’autres bailleurs de fonds, la banque recherche des moyens appropriés de collaborer avec les gouvernements africains pour les rendre mieux à même de mettre en oeuvre des programmes de développement sur tout le continent. Étant donné le caractère rural de la plupart des économies africaines et la concentration de pauvres dans les zones rurales, il est urgent de renforcer les capacités pour promouvoir le développement agricole.
L’Initiative sur les bonnes pratiques au niveau mondial entend rendre l’information et le savoir-faire en matière de vulgarisation facilement accessibles à un large public de praticiens. Pour ce faire, elle prépare des Notes de bonnes pratiques, qui décrivent les concepts et méthodes clés dans un format facile à comprendre. Ces notes donnent une vue d’ensemble des principaux aspects et des références permettant d’aller plus loin. Les notes sont téléchargeables gratuitement à partir de www.betterextension.org.
En esta sección se retrata como se hace y vive la agroecología en un contexto campesino rural. Desde una comunidad en las Lomas del Escambray (prov. Villa Clara) se intenta transmitir el corazón y la energía de la agroecología en Cuba, a la vez que mostrar el funcionamiento del MACAC, las prácticas cotidianas y las reflexiones de los/as protagonistas.
Cette partie a pour objectif de retracer l’histoire de la création de l’agroécologie et de comprendre les conditions qui lui permettent d’exister dans un contexte paysan rural. Depuis ces mêmes fermes, les protagonistes essayent de transmettre le sentiment et le cœur de l’agroécologie tout en laissant voir le fonctionnement du MACAC, les pratiques quotidiennes et les réflexions de chaque protagoniste.
This section intends to picture how is agroecology done and lived in a rural peasant context. From their own plantations they try to carry over the feeling and heart of agroecology, while showing the operation of PTPAM at the same time, the everyday practices and the thoughts of their main players.
La nouvelle édition annuelle de Défis Sud propose un regard sur les agricultures, avec des faits, des chiffres et des prévisions. Face à l’augmentation de la population, au réchauffement climatique et à la perte de ressources naturelles, les solutions proposées pour répondre au défi de la sécurité alimentaire mondiale devraient davantage miser sur l’agriculture familiale et l’agroécologie.
The objective of this paper is twofold. First, using a three rounds panel data of 7110 households, was investigate the adoption decisions and the complementarities among the four labor-intensive technologies (agricultural extension service, irrigation, soil conservation and planting seeds in a row) and a comprehensive use of four modern inputs (improved seed variates, inorganic fertilizer, pesticides, organic fertilizer) which have been frequently adopted by smallholder farmers.
The study responds to the request by farmers in the Hohoe and Jasikan Rice Innovation Platforms, to identify traders and consumers’ rice preferences to enable them produce rice varieties that meet users’ demands. The study provided strategic guidelines for the development of a marketing and promotional plan for locally produced rice in Ghana. The report is structured as follows: Chapter one introduces the study including the study objectives, design and methodology.
This article presents a multi-stakeholder framework for intervening in root, tuber, and banana seed systems and in other VPCs. These crops are reproduced not with true seed but with vegetative planting material (e.g., roots,tubers, vines, stems, and suckers), called “seed” in this article. Seed systems for VPCs need to be designed differently than those for true seed, and coordination among stakeholders in seed systems is crucial
The main goal of the study is to quantify the effects of a) change in nitrogen fertilization rate, b) adjustment of sowing date, c) implementation of new cultivars, and d) supplementary irrigation on maize cropping systems across six African countries including Ghana, Nigeria, Kenya, Malawi, Ethiopia and Burkina Faso. For this purpose, 30 years (1980-2010) of climate data are used as well as soil and management information obtained from global datasets at 0.5° x 0.5° spatial resolution.