The study explored the nature of innovation response capacity and the building of policy-relevant innovation capacity in the context of livestock-related emergencies in East Africa.
Livelihoods, food security, and development processes in Sub-Saharan Africa are highly dependent on land management practices to generate natural ecosystem goods and services. Out of a total population of about 717 million people, almost 60 percent depend for their livelihood on agriculture, hunting, fishing, or forestry. However, unsustainable land management already is leading to large-scale land degradation trends, which pose a threat to food security and poverty alleviation in Sub-Saharan Africa. Climate change threatens to exacerbate and add to the existing vulnerabilities.
African farming systems are highly heterogeneous: between agroecological and socioeconomic environments, in the wide variability in farmers’ resource endowments and in farm management. This means that single solutions (or ‘silver bullets’) for improving farm productivity do not exist. Yet to date few approaches to understand constraints and explore options for change have tackled the bewildering complexity of African farming systems. In this paper we describe the Nutrient Use in Animal and Cropping systems – Efficiencies and Scales (NUANCES) framework.
Le Tuy, province de l'Ouest du Burkina Faso est une région soudanienne à forte pression démographique et pastorale où se posent avec acuité des problèmes de fertilité des sols. Face à la dégradation des ressources naturelles, opter vivre dans son milieu natal et s'assurer une bonne production agropastorale nécessite de la part des acteurs des actions concertées. Le projet Fertipartenaires aide les producteurs de cette province à se concerter, à réfléchir à leurs problèmes, proposer et expérimenter des solutions et les évaluer afin d'améliorer leur sécurité alimentaire.
Face aux enjeux majeurs pour l’avenir de la sécurité alimentaire et de l’agriculture mondiale, le phénomène d’acquisition et de location de terres à grande échelle est un sujet fortement controversé qui mobilise activement les médias et l’opinion publique.
Le présent document est organisé en deux grandes parties. Une première partie dite « de synthèse » qui à partir de six études de cas d’investissement massif dans les terres en Afrique, en Asie et en Amérique latine, se propose de :
En 2006, un rapport de la FAO pointait du doigt l’élevage comme l’un des principaux responsables du réchauffement climatique. Si la viande semble donc bien sur le gril, faut-il pour autant tous devenir végétariens ? Dans les pays du Sud, l’élevage a une grande importance socio-économique. L’élevage est la ressource principale pour plus d’un milliard de paysans pauvres. C’est essentiellement le Nord, avec en moyenne 80kg de viande consommée par habitant et par an, qui contribue aux 18 % d’émissions de gaz à effet de serre dues à l’élevage.
Agroforestry (AF) systems have been the focus of numerous research and development projects in southern Africa, yet their adoption rate generally remains low. Employing on-farm, participatory research techniques in southern Malawi, was compared the suitability of three AF-based systems that relay crop the dominant staple, maize (Zea mays), with the perennial legumes Sesbania sesban, Tephrosia vogelii, and Cajanus cajan (pigeonpea).
L’objectif de ce guide est de faciliter la planification et la mise en œuvre des
sessions de formation. Il fait partie du cours de Gestion d’entreprises associatives
rurales en agroalimentaire et a été conçu pour les facilitateurs qui possèdent
des connaissances et une expérience en ce qui concerne les aspects techniques de
la formation, mais qui n’ont pas forcément de compétences pédagogiques et qui
n’ont pas d’expérience leur permettant de faciliter le processus d’enseignementapprentissage.
Ethiopian agriculture is changing as new actors, relationships, and policies influence the ways in which small-scale, resource-poor farmers access and use information and knowledge in their agricultural production decisions. Although these changes suggest new opportunities for smallholders, too little is known about how changes will ultimately improve the wellbeing of smallholders in Ethiopia. The authors of this paper examine whether these changes are improving the ability of smallholders to innovate and thus improve their own welfare.
The Raya valley in Tigray, where Alamata Woreda is located, has suitable climate and rich water resources, among others, to grow various tropical fruits. Development of fruits only started a few years ago (1996) with the Raya Valley Development Project and the OoARD (Office of Agriculture and Rural Development), mostly focusing on papaya. A participatory rural appraisal (PRA) study conducted by the Woreda stakeholders identified tropical fruits as a potential marketable commodity in 2005.