Africa Lead II—the Feed the Future: Building Capacity for African Agricultural Transformation Program—aims to support and advance agricultural transformation in Africa as proposed by the African Union Comprehensive Africa Agriculture Development Program. It will also contribute to the Feed the Future goals of reduced hunger and poverty by building the capacity of Champions—defined as men and women leaders in agriculture—to develop, lead, and manage the policies, structures and processes needed for the transformation process.
Africa Lead II is a program dedicated to supporting and advancing agricultural transformation in Africa as proposed by the African Union Comprehensive Africa Agriculture Development Program. It will also contribute to the Feed the Future goals of reduced hunger and poverty by building the capacity of Champions—defined as men and women leaders in agriculture—to develop, lead, and manage the policies, structures and processes needed for the transformation process.
Africa Lead II is a program dedicated to supporting and advancing agricultural transformation in Africa as proposed by the African Union Comprehensive Africa Agriculture Development Program. Simultaneously, it contributes to USAID’s Feed the Future goals of reduced hunger and poverty by building the capacity of Champions—defined as men and women leaders in agriculture—to develop, lead, and manage the policies, structures, and processes needed for the transformation process.
Les populations rurales sédentaires de la commune de Hombori (Mali) pratiquent presque toutes la culture de mil associée au petit élevage non transhumant. Au-delà des contraintes environnementales d’une région semi-aride, le maintien de l’agro-élevage repose sur une double maitrise, des territoires et des ressources, l’une et l’autre ne pouvant se confondre.
Le sud du Brésil qui possède un bon potentiel naturel en raison de son climat chaud et humide et de son relief favorable est voué principalement à l’élevage et aux cultures de soja, de riz et de maïs. Cette région, comme d’autres au Brésil, participe à la production de denrées agricoles pour le marché national et international. Elle est ainsi soumise à l’intensification des pratiques dont les impacts sur l’environnement sont notoires. L’étude concerne plus particulièrement le bassin versant de l’Ibicuí (46 800 km²), situé dans le sud-ouest de l’État de Rio Grande do Sul.
L’agriculture de conservation (AC) obéit à trois principes : travail du sol minimal, couverture du sol permanente et multiculture. Partant de ses avantages avérés pour l’écologie du sol, la séquestration de carbone et son adoption massive dans quelques régions du monde, elle est présentée par ses promoteurs comme un système durable convenant à tous contextes. Dès lors elle a été mondialement diffusée au nom du développement durable.
Du fait de leur transversalité et de leur objet, l'évaluation des politiques de développement territorial ne peut pas s'appuyer sur les outils utilisés pour évaluer les politiques sectorielles. Les questions procédurales sont très largement dominantes, les dispositifs portant essentiellement sur la gouvernance et la coordination. Pour évaluer une démarche procédurale, il convient de préciser le référentiel d’évaluation à la fois en termes du quoi et du comment évaluer.
Les notions de services environnementaux et de services écosystémiques (SE) ont connu un rapide engouement au cours de la dernière décennie et sont à l’origine de nouveaux instruments pour faire face à divers problèmes environnementaux, notamment la déforestation : les dispositifs de Paiements pour Services Environnementaux (PSE). Néanmoins, l’intégration du concept dans les politiques publiques reste un processus rare.
Les conventions locales peuvent être définies comme des accords légitimes négociés entre plusieurs parties prenantes (stakeholders) dans une perspective de régulation des ressources naturelles – en termes de contrôle, d’accès, d’appropriation, d’usage et d’exploitation – et de l’environnement. Au Sahel, bien qu’elles soient en vogue et jouissent davantage d’attention chez les décideurs, elles constituent des instruments encore peu exploités dans le contexte actuel de la décentralisation (Diallo, 2003).
Africa Lead — Feed the Future’s Building Capacity for African Agricultural Transformation Program — supports the advancement of agricultural transformation in Africa as proposed by the African Union Comprehensive Africa Agriculture Development Program (CAADP). Africa Lead also contributes to the Feed the Future goals of reduced hunger and poverty by building the capacity of Champions — i.e., men and women leaders in agriculture — and the institutions in which they operate to develop, lead, and manage the policies, structures, and processes needed for transformation.