Little is known about effective ways to operationalize agricultural innovation processes. The authors of this article use the MasAgro program in Mexico (which aims to increase maize and wheat productivity, profitability and sustainability), and the experiences of middle level ‘hub managers’, to understand how innovation processes occur in heterogeneous and changing contexts. Their research shows how a program, that initially had a relatively narrow technology focus, evolved towards an innovation system approach.
Ces dernières années, une « ruée vers les terres » a privé une multitude de petits producteurs du Sud de leur surface agricole. Depuis l’an 2000, plus de 1 600 transactions foncières portant sur quelque 60 millions d’hectares ont été enregistrées.
Este artículo presenta una propuesta de marco teórico, conceptual y operativo (MaTCo) diseñado para documentar las experiencias de dichos actores y las estrategias de innovación tecnológica implementadas en el Nodo de Innovación (HUB) Trópico Bajo de Chiapas. Dicho marco incluye indicadores para conocer los principios, metodologías y herramientas utilizadas por cada actor estudiado. Para ello fue necesario construir e implementar el MaTCo, desde una perspectiva socio-agronómica holística y aplicarlo a cuatro estudios de caso de actores que colaboran con el programa.
A model is proposed for the management of innovation in marginalized or depressed areas in three different countries, following the methodology of the Field Schools and taking advantage of the resources available in the region, work began with producers of areas with high marginalization and speakers of its original language, based on the fact that producers are subjects and not only beneficiaries, to say that, based on their decisions, they are the ones who cause the changes in their way of acting and producing, in such a way that in addition to the technological offer that allows access t
L’édition annuelle de Défis Sud propose un regard sur les agricultures, avec des faits, des chiffres et des prévisions. Face à l’augmentation de la population, au réchauffement climatique et à la perte de ressources naturelles, les solutions proposées pour répondre au défi de la sécurité alimentaire mondiale devraient davantage miser sur l’agriculture familiale et l’agroécologie. En 2018 les agricultures familiales seront encore menacées.
Comment se porte le secteur laitier ? En Europe, il n’en est pas à sa première crise. Au Sud, il subit les conséquences de la surproduction et des exportations massives.
La publication de ce numéro double consacré à l’agriculture familiale marque un tournant de l’histoire de la revue Défis Sud. Depuis vingt ans, votre revue a resserré son projet éditorial sur les questions agricoles et de développement rural.
Face aux limites du système agro-industriel productiviste, des résistances et des alternatives positives proposent de nouvelles façons de penser et de pratiquer l’agriculture.
Aujourd’hui encore, les forêts restent un enjeu vital. Ceci alors que le développement accéléré de beaucoup de régions provoque une pression croissante sur les écosystèmes forestiers. Parc Yasuni en Equateur, parc national des Virunga en RDC, ou plus largement forêts tropicales au Brésil ou en Indonésie, on peut multiplier les exemples de conflits socio-environnementaux où la question de l’utilisation et de la propriété des ressources forestières est l’objet de luttes féroces entre populations indigènes, ONG environnementales, multinationales et gouvernements, etc.
La qualité de la nutrition n’est pas encore bien intégrée au sein des politiques alimentaires mondiales. Pourtant, les conséquences sociales, économiques et sanitaires de la malnutrition sur les populations sont de plus en plus graves.