Cet article aborde la mise en place d’un projet d’agroforesterie villageoise, pour la gestion intégrée des ressources naturelles, dans le hameau de Duale Mitterrand (52 ménages) situé sur le plateau des Batéké (République démocratique du Congo). Il repose sur un travail de terrain effectué entre février et mai 2012 dans le cadre du mémoire de fin d’études du master en sciences et gestion de l’environnement de l’Université Libre de Bruxelles (ULB).
Du fait de leur transversalité et de leur objet, l'évaluation des politiques de développement territorial ne peut pas s'appuyer sur les outils utilisés pour évaluer les politiques sectorielles. Les questions procédurales sont très largement dominantes, les dispositifs portant essentiellement sur la gouvernance et la coordination. Pour évaluer une démarche procédurale, il convient de préciser le référentiel d’évaluation à la fois en termes du quoi et du comment évaluer.
Les conventions locales peuvent être définies comme des accords légitimes négociés entre plusieurs parties prenantes (stakeholders) dans une perspective de régulation des ressources naturelles – en termes de contrôle, d’accès, d’appropriation, d’usage et d’exploitation – et de l’environnement. Au Sahel, bien qu’elles soient en vogue et jouissent davantage d’attention chez les décideurs, elles constituent des instruments encore peu exploités dans le contexte actuel de la décentralisation (Diallo, 2003).
En Europe, depuis trois décennies, la prise en compte des enjeux environnementaux dans les politiques agricoles se traduit, en partie, par la conception de Mesures agrienvironnementales (MAE), visant à promouvoir le changement de pratiques. En France, ces mesures ont été mobilisées dans différents modèles de contrats avec les agriculteurs, passant d’un paradigme basé sur la subvention de la multifonctionnalité d’une exploitation agricole à une compensation des surcoûts liés à l’adoption de nouvelles pratiques plus vertueuses au niveau des parcelles.
L’agriculture de conservation (AC) obéit à trois principes : travail du sol minimal, couverture du sol permanente et multiculture. Partant de ses avantages avérés pour l’écologie du sol, la séquestration de carbone et son adoption massive dans quelques régions du monde, elle est présentée par ses promoteurs comme un système durable convenant à tous contextes. Dès lors elle a été mondialement diffusée au nom du développement durable.
L’action locale est aujourd’hui confrontée au problème de changements climatiques, tant en termes de réduction des émissions de gaz à effet de serre que de gestion des impacts potentiels. La question particulière de l’adaptation aux changements climatiques émerge ainsi progressivement sur la scène locale et semble se généraliser depuis les évolutions législatives (Loi « Grenelle II ») qui rendent obligatoire la réalisation de plans climat-énergie territoriaux pour les collectivités de grande taille et des schémas régionaux climat-air-énergie.
Given the diversity and context-specificity of innovation systems approaches, in March 2007 the World Bank organized a workshop in which about 80 experts (representing donor agencies, development and related agencies, academia, and the World Bank) took stock of recent experiences with innovation systems in agriculture and reconsidered strategies for their future development. This paper summarizes the workshop findings and uses them to develop and discuss key issues in applying the innovation systems concept. The workshop’s recommendations, including next steps for the wider
This learning module on Applying innovation system concept in agricultural research for development has been prepared to serve as a tool in achieving the objective of strengthening the capacity of project staff and other researchers and actors who are believed to have a key role to play in ushering in market-led agricultural transformation. This includes national, regional, international and private sector agricultural researchers, university lecturers, and others engaged in biophysical as well as social science research.
The Challenge of Capacity Development: Working Towards Good Practice draws on four decades of documented experience provided by both bilateral and multilateral donors, as well as academic specialists, to help policy makers and practitioners think through effective approaches to capacity development and what challenges remain in the drive to boost country capacity. The analysis is underpinned by a conceptual framework which guides practitioners to view capacity development at three interrelated levels: individual, organisational and enabling environment levels.
The Guidance Note on Operationalization provides a brief recap of the conceptual underpinnings and principles of the TAP Common Framework as well as a more detailed guide to operationalization of the proposed dual pathways approach. It offers also a strategy for monitoring and evaluation as well as a toolbox of select tools that may be useful at the different stages of the CD for AIS cycle.