En el artículo analizamos la innovación biotecnológica relacionada con los sectores agrícola y alimentario en México. Tomamos en cuenta las políticas públicas, las leyes y las reglamentaciones; la dinámica del sector y del merado. Asimismo, analizamos la forma en la que las empresas agro-alimentarias pueden aprovechar los insumos de conocimiento científico y tecnológico que ofrece la biotecnología.
La presente investigación tuvo como objetivo caracterizar los esquemas de innovación tecnológica y su transferencia en las agroempresas frutícolas del estado de Michoacán; para ello se mapeó una red de 137 nodos del sistema–producto guayaba de la región oriente de la entidad. Con el software Keyplayer 2, se calcularon los tres actores clave difusores y estructuradores, y con NetDraw se determinaron los actores conformantes de la red primaria, ello hizo un total de 33 nodos entrevistados. De éstos, se seleccionaron tres actores para efectuar el estudio de caso.
Les grandes exploitations agricoles créées dans le cadre de la loi de mise en valeur agricole de 1983 dans le Sahara algérien étaient vouées à une production céréalière sous pivot. L’objectif était de développer économiquement des régions sahariennes pour partie marginalisées, ainsi que de réduire la dépendance chronique en céréales du pays. L’État a considérablement investi pour équiper ces exploitations agricoles dans le cadre d’un vaste plan de développement rural. Mais trente ans après la parution de la loi, les réalisations demeurent limitées au regard des objectifs initiaux.
Inscrites sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco pour leur témoignage des techniques préhispaniques d’agriculture sur l’eau, les chinampas de Xochimilco sont le dernier grand espace non urbanisé de la ville de Mexico. Le site est le support d’une multitude de fonctions dont la promiscuité engendre inévitablement des tensions entre les acteurs. Localisées au cœur de la capitale, les chinampas subissent également les effets de la pression urbaine qui tend à concurrencer spatialement les autres activités et à accentuer les dégradations environnementales.
Swedish agricultural companies, especially small farms, are struggling to be profitable in difficult economic times. It is a challenge for Swedish farmers to compete with imported products on prices. The agricultural industry, however, supports the view that through business model innovation, farms can increase their competitive advantage. This paper identifies and describes some of the barriers Swedish small farms encounter when they consider business model innovation. A qualitative approach is used in the study. Agriculture business consultants were interviewed.
Public-private partnerships (PPPs) have become a popular tool for governing rural development in a European context. PPPs are often presented as significant solutions for increasing both the effectiveness (problem-solving capacity) and the legitimacy of sustainable rural governance in terms of participation and accountability. In Sweden, where PPPs have played a marginal role, due to the EU cohesion policy they are now gaining ground as a model for the governance and management of natural resources in rural areas.
Dans les régions laitières et bocagères, les exploitations agricoles sont souvent considérées comme les unités élémentaires de structuration de l’espace et du paysage rural. L’étude des logiques d’organisation des pratiques des agriculteurs apparaît ainsi comme une grille d’analyse pertinente des dynamiques de transformation de ces espaces et de ces paysages. Dans les exploitations laitières de l’Ouest Atlantique, les facteurs liés à la morphologie parcellaire (pulvérisation spatiale des parcelles, surface de l’exploitation) jouent un rôle prépondérant.
L’agriculture française fait l’objet de critiques du fait des pressions qu’elle exerce sur les ressources naturelles, des transformations qu’elle opère sur les paysages et de la qualité parfois contestée de ses productions. Face aux attentes sociales et aux pressions réglementaires, des agriculteurs ont choisi de s’organiser en réseau pour proposer des pratiques agricoles alternatives. Une véritable dynamique est en œuvre chez ces agriculteurs minoritaires qui cherchent à diffuser leurs expériences en créant de nouveaux liens au sein de la population agricole.
L’Agriculture de Conservation est un système s’inscrivant dans la démarche de l’agroécologie, fondé sur le non-labour, la couverture permanente du sol par des végétaux et des rotations longues et diversifiées. Le système vise à améliorer la productivité sur le long terme en respectant les services écosystémiques générés par l’activité biologique du sol et la matière organique qu’il contient. Les techniques de non-labour se sont développées sur le continent américain et en Australie. Elles prennent à présent de l’ampleur en Europe.
Au sud-est de la commune de Djougou, les eaux de surface à usage pastoral se raréfient depuis les années 1990. Pour en comprendre l’ampleur et les raisons, nous avons développé un outil permettant une analyse socio-spatiale et socio-environnementale, à l’échelle du finage de deux villages, des dynamiques des ressources, de leurs usages et des stratégies d’accès développées par les populations : un SIG « à dires d’acteurs » associant sur le même support une cartographie classique (réseau hydrographique, forêts, voies de communication, villages, etc.) et l’expertise des populations locales.