Innovations in the agri-food sector are needed to create a sustainable food supply. Sustainable food supply requires unexpectedly that densely populated regions remain food producers. A Dutch innovation program has aimed at showing the way forward through creating a number of practice and scientific projects. Generic lessons from the scientific projects in this program are likely to be of interest to agricultural innovation in other densely populated regions in the world.
Given the search for new solutions to better prepare cities for the future, in recent years, urban agriculture (UA) has gained in relevance. Within the context of UA, innovative organizational and technical approaches are generated and tested. They can be understood as novelties that begin a potential innovation process. This empirical study is based on 17 qualitative interviews in the U.S. (NYC; Philadelphia, PA, USA; Chicago, IL, USA).
The study examines whether the goal of food security for the population of Sverdlovskaya oblast, one of the mostly industrial northern region in Russia, aiming agricultural productivity improvement and rural poverty reduction, could be achieved by the regional authorities within post-soviet type of agricultural policy. Results show that, the current trends of agricultural production and rural social development in Sverdlovskaya oblast are degrading.
Partnership brokering is needed to work out new ways of organising food systems that treat agricultural smallholders as a resource and opportunity rather than a problem or distraction. This is because food systems are demanding innovation in the way they are organised. This is a matter of transforming stakeholders into partners in order to reconfigure food systems to operate differently, rather than just operate more efficiently. Fundamental systemic changes are needed as our contemporary food system is failing to deliver the food we increasingly demand.
C’est en 1954 que les paysans de la Commune rurale de l’Imanan, située dans l’Ouest du Niger, ont commencé la culture de pomme de terre. Partie d’une simple culture d’appoint associée à d’autres spéculations, la production de pomme de terre fait maintenant partie intégrante des systèmes de productions locaux. C’est la principale stratégie adaptative des paysans pour faire face aux crises alimentaires.
Les politiques publiques en faveur du développement rural se matérialisent au travers d’instruments incitatifs, de règlements particuliers, ou encore par l’accompagnement des initiatives particulières. Ceux-ci répondent en général à la mise en place d’une stratégie nationale d’appui à une filière agricole. Dans le cas du quinoa cultivé au Chili, chaque région de production observe un développement propre.
Nous étudions le processus de transfert politique selon lequel les idées et valeurs du développement durable, mûries et véhiculées au niveau international, donnent lieu au niveau national à une recomposition des modes publics d’intervention en milieu rural. Au Mali et à Madagascar, les politiques de développement durable recouvrent des expressions différentes. Nous interprétons ces différences par une analyse comparative des stratégies des acteurs intervenant dans le jeu politique. Nous montrons que ces stratégies renvoient à des processus historiques.
La sécurité alimentaire en Algérie semble plus que menacée par un niveau de croissance démographique incontrôlé, par la dégradation des conditions physiques du secteur de l’agriculture, par la baisse des ressources hydriques et par le retard de développement technique de l’activité. À partir d’une revue bibliographique sur la situation actuelle du secteur agricole, le texte définit ses niveaux de développement et les défis de l’avenir auxquels ce secteur sera confronté.
Cet article défend l'idée que les petites exploitations agricoles doivent être placées au cœur du processus de développement, principalement dans les pays du Sud, notamment parce que la moitié des populations qui, dans le monde, souffrent de la faim, habitent des zones rurales et disposent de moins de 2 hectares, et parce que près de 2 milliards d'êtres humains dépendent de l'agriculture familiale. L'auteur, éminent représentant de la FAO, préconise l'insertion de la petite exploitation dans les circuits agro-industriels.
La crise cacaoyère de la fin de la décennie 1970 a profondément bouleversé les stratégies de survie des producteurs. Elle s’est manifestée par la rareté des facteurs de production (la terre et le travail), la diminution de la production et du revenu, la transformation du milieu écologique et la baisse de la pluviométrie. Pour faire face à l’ensemble de ces contraintes, les producteurs ont adopté diverses stratégies dont l’objectif est soit de diversifier les sources de revenu, soit de réduire les charges familiales.