Africa Lead II—the Feed the Future: Building Capacity for African Agricultural Transformation Program—aims to support and advance agricultural transformation in Africa as proposed by the African Union Comprehensive Africa Agriculture Development Program. It will also contribute to the Feed the Future goals of reduced hunger and poverty by building the capacity of Champions—defined as men and women leaders in agriculture—to develop, lead, and manage the policies, structures and processes needed for the transformation process.
Funded by USAID’s Bureau of Economic Growth, Agriculture and Trade and implemented by Development Alternatives Inc. (DAI), the RAISE SPS Project (“Assistance for Trade Capacity Building in Relation to the Application of Sanitary and Phytosanitary Measures”) is Task Order 14 under the RAISE (“Rural and Agricultural Incomes with a Sustainable Environment”) Indefinite Quantity Contract with DAI as Prime Contractor.
The Africa Leadership Training and Capacity Building Program (Africa Lead), aims to support the capacity building program of the US Government’s Feed the Future Initiative, which aligns US Government assistance with Africa-owned agriculture development plans that are, in turn, aligned with the African Union’s Comprehensive Africa Agriculture Development Program.
The Africa Leadership Training and Capacity Building Program (Africa Lead), aims to support the capacity building program of the US Government’s Feed the Future Initiative, which aligns US Government assistance with Africa-owned agriculture development plans that are, in turn, aligned with the African Union’s Comprehensive Africa Agriculture Development Program (CAADP).
Africa Lead II is a program dedicated to supporting and advancing agricultural transformation in Africa as proposed by the African Union Comprehensive Africa Agriculture Development Program. Simultaneously, it contributes to USAID’s Feed the Future goals of reduced hunger and poverty by building the capacity of Champions—defined as men and women leaders in agriculture—to develop, lead, and manage the policies, structures, and processes needed for the transformation process.
Le développement de l'agriculture organique au Brésil prend des formes multiples. Au travers de leur expérience de l'AO, dans une communauté proche de trois métropoles, de petits maraîchers d'Ibiúna (São Paulo) créent des entités collectives et expérimentent de nouvelles pratiques sociales.
À Madagascar, au-delà de l'abandon fortement médiatisé du gigantesque projet agricole de l'entreprise Daewoo, les appropriations foncières à grande échelle se poursuivent. Mais, à la différence d'autres pays du Sud, une réforme foncière est en cours, fondée à la fois sur la remise en cause de la propriété de l'État sur une large part du territoire et la reconnaissance légale des droits fonciers locaux. Basé sur la théorie de l'accès, cet article analyse les modes d'accès à la terre des investisseurs et leurs régulations.
De nombreux agriculteurs africains pratiquent des formes d'agriculture potentiellement qualifiables de "?biologiques?". Pourtant, la capacité de l'agriculture biologique à répondre aux enjeux de la sécurité alimentaire en Afrique est encore mal connue, car il existe peu de références expérimentales disponibles dans cette région. L'élicitation probabiliste est une méthode permettant de rendre compte de manière précise des connaissances d'experts sur une ou plusieurs quantités d'intérêt, et de décrire les niveaux d'incertitude associés.
L'article propose d'utiliser le concept de sécurisation alimentaire pour étudier les actions et processus qui améliorent une situation alimentaire, plutôt que celui de sécurité alimentaire qui se réfère avant tout à la satisfaction de besoins alimentaires. Dans une première partie, ces deux concepts sont précisés et discutés. La sécurité alimentaire est caractérisée selon plusieurs dimensions : disponibilités, conditions d'accès, qualités des aliments, stabilité, mais aussi objectifs sociaux et politiques.
L’eau d’irrigation est une ressource cruciale pour le développement économique et social en Tunisie. Dans un contexte de décentralisation et de délégation du rôle de l’État, une part importante de la gestion de cette eau d’irrigation a été confiée aux groupements de développement agricole (GDA). Ces groupements souffrent cependant d’un manque de reconnaissance de la part des usagers, qui se manifeste essentiellement par un faible consentement de leur part à payer les redevances.