The Agriculture Technology Program for Turkmenistan (AgTech), funded by USAID and implemented by Weidemann Associates, Inc., aims to increase and develop private enterprises, and improve productivity of private, small and household farms. The project has two key components: the improvement of genetics, education and organization as a means of increasing the incomes of private agribusiness involved in livestock; skills building for private producers, processors and marketers of fruits and vegetables.
The Agriculture Technology Program for Turkmenistan (AgTech) takes a comprehensive approach to agricultural development in Turkmenistan by implementing high-impact activities in the livestock and greenhouse horticulture sectors to achieve the two objectives: improve genetics, education and organizations for private livestock producers; introduce successful agribusiness practices.
The Agriculture Technology Program for Turkmenistan (AgTech) takes a comprehensive approach to agricultural development in Turkmenistan by implementing high-impact activities in the livestock and greenhouse horticulture sectors to achieve the two objectives: improve genetics, education and organizations for private livestock producers; introduce successful agribusiness practices.
The Agriculture Technology Program for Turkmenistan (AgTech) takes a comprehensive approach to agricultural development in Turkmenistan by implementing high-impact activities in the livestock and greenhouse horticulture sectors to achieve the two objectives: improve genetics, education and organizations for private livestock producers; introduce successful agribusiness practices.
This review aims to identify key issues and opportunities needed to bring current Agricultural Education and Training (AET) systems up to the needed capacity. This paper first looks at the opportunities identified in the preliminary research. Next the paper looks at some of the many pitfalls learned from previous AET work that should be avoided moving forward. Lastly the paper gives a brief explanation for some of the key areas that the preliminary research identified as requiring further research and study in a modern day context.
Le développement de l'agriculture organique au Brésil prend des formes multiples. Au travers de leur expérience de l'AO, dans une communauté proche de trois métropoles, de petits maraîchers d'Ibiúna (São Paulo) créent des entités collectives et expérimentent de nouvelles pratiques sociales.
À Madagascar, au-delà de l'abandon fortement médiatisé du gigantesque projet agricole de l'entreprise Daewoo, les appropriations foncières à grande échelle se poursuivent. Mais, à la différence d'autres pays du Sud, une réforme foncière est en cours, fondée à la fois sur la remise en cause de la propriété de l'État sur une large part du territoire et la reconnaissance légale des droits fonciers locaux. Basé sur la théorie de l'accès, cet article analyse les modes d'accès à la terre des investisseurs et leurs régulations.
De nombreux agriculteurs africains pratiquent des formes d'agriculture potentiellement qualifiables de "?biologiques?". Pourtant, la capacité de l'agriculture biologique à répondre aux enjeux de la sécurité alimentaire en Afrique est encore mal connue, car il existe peu de références expérimentales disponibles dans cette région. L'élicitation probabiliste est une méthode permettant de rendre compte de manière précise des connaissances d'experts sur une ou plusieurs quantités d'intérêt, et de décrire les niveaux d'incertitude associés.
L'article propose d'utiliser le concept de sécurisation alimentaire pour étudier les actions et processus qui améliorent une situation alimentaire, plutôt que celui de sécurité alimentaire qui se réfère avant tout à la satisfaction de besoins alimentaires. Dans une première partie, ces deux concepts sont précisés et discutés. La sécurité alimentaire est caractérisée selon plusieurs dimensions : disponibilités, conditions d'accès, qualités des aliments, stabilité, mais aussi objectifs sociaux et politiques.
L’eau d’irrigation est une ressource cruciale pour le développement économique et social en Tunisie. Dans un contexte de décentralisation et de délégation du rôle de l’État, une part importante de la gestion de cette eau d’irrigation a été confiée aux groupements de développement agricole (GDA). Ces groupements souffrent cependant d’un manque de reconnaissance de la part des usagers, qui se manifeste essentiellement par un faible consentement de leur part à payer les redevances.