Le présent document a reconnu l’existence d’un consensus international croissant au sujet de l’importance de l’objectif de renforcement des capacités et de la façon dont il a des chances d’être réalisé. L’accent a été mis sur la reconnaissance du fait que le renforcement des capacités est un processus endogène, sur l’importance de l’appropriation des politiques nationales qui en résulte, et sur la nécessité pour les donneurs de se limiter à encourager et à soutenir les efforts du pays.
Depuis plusieurs décennies, les pays de l’Afrique de l’Ouest se sont investis dans le développement et la diffusion des innovations agricoles dans le but d’accroître la productivité agricole et la production vivrière en particulier. Plusieurs mécanismes et approches ont été développés à cet effet en vue d’une utilisation efficace de ces innovations agricoles par les producteurs.
This report sets out the synthesis of work carried out within the framework of the Sahel and West Africa Club (SWAC) Secretariat Initiative on “The family economy and agricultural innovation: towards new partnerships”. The initiative aimed to stimulate analyses, collect field data and case studies that encourage debates between regional actors, with a view to informing the development of regional policies and actions in order to promote and strengthen producer access to agricultural innovation, where most producers are anchored in the family economy.
This paper is the result of a joint effort of OECD/DAC and LenCD to assemble the critical messages about training and learning that are emerging from the current international scrutiny of training and capacity development. It synthesises current wisdom on the topic, and offers a sense of direction on where the debate is going, particularly in terms of approaches to capacity development interventions at country and field levels. The paper is written primarily for the demand side, i.e.
The Challenge of Capacity Development: Working Towards Good Practice draws on four decades of documented experience provided by both bilateral and multilateral donors, as well as academic specialists, to help policy makers and practitioners think through effective approaches to capacity development and what challenges remain in the drive to boost country capacity. The analysis is underpinned by a conceptual framework which guides practitioners to view capacity development at three interrelated levels: individual, organisational and enabling environment levels.
La présente note commence par indiquer brièvement en quoi une politique de la concurrence est importante pour les économies en développement et en transition. Elle aborde ensuite certains éléments essentiels de l’établissement d’une culture de la concurrence. Idéalement, ce processus devrait tout d’abord consister en une « évaluation des besoins » dans différents domaines, qui permettra probablement de dresser une liste de mesures à hiérarchiser et à prendre.
Ce document examine les approches suivies actuellement en ce qui concerne le renforcement des capacités commerciales dans les pays africains. Ce but est de:
Identifier des mécanismes permettant de promouvoir un processus de formulation de la politique commerciale de type participatif et de l’intégrer dans les stratégies nationales de développement et de lutte contre la pauvret.
Etudier le rôle que pourraient jouer les donneurs en facilitant et en soutenant le processus d’élaboration de la politique commerciale.
Ce document offre un cadre de réflexion sur le renforcement des capacités, établi à partir des principaux enseignements tirés de l’expérience, qu’elle soit positive ou négative.
Agriculture is an essential component of food security, sustainable livelihoods, and economic development in sub-Saharan Africa (SSA). Smallholder farmers, however, are restricted in the number of crops they can grow due to small plot sizes. Agriculture inputs, such as fertilizers, herbicides or pesticides, and improved seed varieties, could prove to be useful resources to improve yield. Despite the potential of these agriculture technologies, input use throughout much of SSA remains low.
Multi-stakeholder participation (MSP) has become a central feature in several institutions and processes of global governance. Those who promote them trust that these arrangements can advance the deliberative quality of international institutions, and thereby improve the democratic quality, legitimacy and effectiveness of both the institutional landscape, as well as decisions made within it. This paper employs a heuristic framework to analyze the deliberative quality of MSP.