This report describes the 2012 NAIS Assessment was piloted in 4 countries: Botswana, Ghana, Kenya and Zambia. Data were collected through a survey questionnaire, open-ended interview questions, and data mining of secondary sources. A team led by a national coordinator took charge of data collection from various partner organizations in each country.
Present-day society asks more from agriculture than just the production of food. Agriculture is now required to be concerned with the quality of food, ecosystem services, inclusion of marginalized populations, revitalization of rural territories, energy production, etc. This opening up of the future of agriculture encourages rural actors to experiment with new farming systems, using imagination, creativity and determination to replace dominant models. At the same time, low-cost mass-production systems continue on their way, with promises of a future based on green technologies.
Despite its vast agriculture potential, Africa is increasingly dependent on food imports from the rest of the world to satisfy its consumption needs. Food output has not kept pace with population growth, and more than 80 percent of production gains since 1980 have come from the expansion of cropped areas rather than from greater productivity of areas already cultivated. This paper looks at the current requirements for seed trade in Africa, the obstacles, status of ongoing plans for regional harmonization, challenges of harmonization, and opportunities for near-term improvement.
En dépit de son vaste potentiel agricole, l’Afrique est de plus en plus tributaire des importations alimentaires du reste du monde pour satisfaire ses besoins de consommation. La production alimentaire n’a pas suivi le rythme de la croissance démographique et plus de 80 % des gains de production depuis 1980 proviennent de l’expansion des superficies cultivées plutôt que d’une meilleure productivité des zones déjà cultivées (Rakotoarisoa et al. 2012).
Ce guide est le premier d’une série consacrée à l’application pratique,sur des cultures de petits producteurs et des systèmes de production agricole spécifiques, du modèle «Produire plus avec moins» de la FAO. Sa publication intervient alors que la production du manioc s’intensifie à l'échelle mondiale, avec une transition des producteurs utilisant les systèmes traditionnels de culture vers la monoculture, vers des génotypes à rendement élevé et vers un recours accru aux produits agrochimiques.
Dans le contexte de changements environnementaux et socio-économiques, l’agriculture en Afrique sub-saharienne devra assurer la sécurité alimentaire des populations, tout en limitant son empreinte écologique. Les contraintes biophysiques et sociales des systèmes de production agricole sont complexes. Les pratiques agricoles innovantes seront basées sur une intensification des processus écologiques qui déterminent le fonctionnement du système sol–plante, des parcelles cultivées ou des agroécosystèmes.
L' étude de la Banque Mondiale a identifié des mesures d’atténuation pouvant apporter des solutions à court et à long termes aux problèmes du secteur agricole du Niger. Il s’agit, notamment de :
l’utilisation de variétés à haut rendement résistantes à la sécheresse,
l’application de techniques de CES/DRS et de gestion des ressources naturelles,
l’extension des surfaces sous irrigation,
la lutte préventive contre les criquets pèlerins,
Le Niger compte parmi les pays les plus vulnérables au monde en raison du contexte lié à son climat, ses institutions, ses sources de revenus, son économie et son environnement. La pauvreté y est omniprésente et le pays se classe au bas de l’échelle sur la quasi-totalité des indicateurs de développement humain. L’agriculture est le secteur le plus important de l’économie du Niger. Elle représente plus de 40 pour cent du le produit intérieur brut national et constitue la principale source de revenus pour plus de 80 pour cent de la population.
Dans le besoin urgent de lutter contre le changement climatique, une priorité essentielle est de renforcer la capacité de ces groupes et communautés les plus vulnérables, et déjà fortement affectés, à améliorer leur capacité à adapter leurs systèmes de subsistance.
Le delta intérieur du Niger est une des régions de l’Afrique de l’Ouest les plus touchées par les attributions foncières à grande échelle : entre 400 000 et 770 000 hectares auraient ainsi été alloués sous la forme de concessions pouvant, dans certains cas, atteindre 100 000 hectares. Cet accaparement des terres a progressé à une vitesse record et renvoie à quantité de projets, disparates par le type des investisseurs impliqués et par les objectifs poursuivis.