La conférence sur « Agriculture écologique : atténuer le changement climatique, assurer la sécurité alimentaire et l’autonomie pour les sources de revenus ruraux en Afrique » s’est tenue à Addis – Abéba (Ethiopie) du 26 au 28 novembre 2008.
This paper comparatively analyzes the structure of agricultural policy development networks that connect organizations working on agricultural development, climate change and food security in fourteen smallholder farming communities across East Africa, West Africa and South Asia.
Le renforcement des capacités est maintenant d’une actualité brûlante en Afrique. Avec d’autres bailleurs de fonds, la banque recherche des moyens appropriés de collaborer avec les gouvernements africains pour les rendre mieux à même de mettre en oeuvre des programmes de développement sur tout le continent. Étant donné le caractère rural de la plupart des économies africaines et la concentration de pauvres dans les zones rurales, il est urgent de renforcer les capacités pour promouvoir le développement agricole.
La consommation de produits certifiés n’est plus l’apanage des pays développés. Au Kenya, les premiers marchés biologiques sont apparus à Nairobi en 2006. Ils sont approvisionnés par des maraîchers, confrontés à une diversité de défis : construire une certification biologique crédible, garantir la fraîcheur des produits et composer avec l’hétérogénéité des attentes des consommateurs. À partir de données d’enquête et du cadre analytique des coûts de transaction, nous analysons l’organisation des marchés de 2006 à 2013.
L'article propose d'utiliser le concept de sécurisation alimentaire pour étudier les actions et processus qui améliorent une situation alimentaire, plutôt que celui de sécurité alimentaire qui se réfère avant tout à la satisfaction de besoins alimentaires. Dans une première partie, ces deux concepts sont précisés et discutés. La sécurité alimentaire est caractérisée selon plusieurs dimensions : disponibilités, conditions d'accès, qualités des aliments, stabilité, mais aussi objectifs sociaux et politiques.
L’eau d’irrigation est une ressource cruciale pour le développement économique et social en Tunisie. Dans un contexte de décentralisation et de délégation du rôle de l’État, une part importante de la gestion de cette eau d’irrigation a été confiée aux groupements de développement agricole (GDA). Ces groupements souffrent cependant d’un manque de reconnaissance de la part des usagers, qui se manifeste essentiellement par un faible consentement de leur part à payer les redevances.
Le développement territorial durable requiert des innovations aussi bien techniques, que sociales et institutionnelles. Favoriser ces innovations est l'objectif des récentes démarches d'ingénierie territoriale qui adaptent les processus d'innovation développés en entreprise. Dans cet article, la pertinence de cette orientation est discutée en s'appuyant sur les enseignements d'une recherche-action, menée dans un territoire « fragilisé » : l' « Alto Sertão du Piauí et du Pernambouco », dans le Nordeste brésilien.
This book describes how the Alliance for a Green Revolution in Africa (AGRA) has been trying to improve markets for staple foods in Africa through its Market Access Programme. It describes 13 projects from eight countries (Burkina Faso, Ghana, Kenya, Malawi, Mozambique, Rwanda, Tanzania and Uganda) that the programme has supported. The book does not attempt to describe the cases in detail. Rather, it focuses on particular aspects in order to derive lessons from which the project managers, AGRA and other development organizations can learn.
This synthesis report presents the outputs of the workshop organised by CTA at its headquarters in Wageningen, The Netherlands, 15-17 July 2008. The outputs are presented in two main parts, each corresponding to one of the workshop objectives, and ends with a section on the way forward as suggested by the workshop participants. It also includes a first attempt to come to a consolidated generic framework on AIS performance indicators, based on the outputs of the different working groups.
This review studied a selection of projects from the Research Into Use (RIU) Africa portfolio: the Nyagatare maize platform in Rwanda; the cowpea platform in Kano state, Nigeria; the pork platform in Malawi, the Farm Input Promotions (FIPS) Best Bet in Kenya, and the Armyworm Best Bet in Kenya and Tanzania. For each of the selected projects, assessments were made on how it changed the capacity to innovate, the household level poverty impact, whether the intervention off ered value for money, and what were the main lessons learned.