Ce document présente la position de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et du Forum mondial pour le conseil rural (GFRAS) sur la place actuelle des services de vulgarisation et de conseil agricole et sur les chemins qu’elle devra suivre à l’avenir. Les résultats présentés dans le document sont destinés à mieux situer la vulgarisation compte tenu de l’avenir de la recherche agricole en faveur du développement.
Successful cases of innovation invariably demonstrate a range of partnerships, alliances and network-like arrangements that connect together knowledge users, knowledge producers and others involved in enabling innovation in the market, policy and civil society arenas. With this comes the realisation that public agricultural research needs to strengthen links to a wider set of players from the private and civil society sectors and, of course, farmers themselves. Public agricultural extension services have traditionally played the role of linking farmers to technology.
En Afrique, le droit sur le sol doit d’abord permettre l’accès à celui-ci. Pour l’agriculteur familial, ce droit est généralement celui des coutumes, que des procédures innovantes permettent de sécuriser. Les investisseurs préfèrent les titres de propriété ou les attributions du sol par l’État. Le droit foncier peut aussi être mobilisé pour garantir des crédits. Mais des contraintes limitent ce droit, résultant de l’existence de ressources naturelles renouvelables (ou non) dont l’exploitation concurrence celle de l’agriculture.
Les investissements dans les agrocarburants en Afrique constituent une véritable question de développement. Ils sont pleinement concernés par le débat sur les acquisitions de terres à grande échelle et exposent les populations et les agricultures africaines à plusieurs types de risques. Dans le même temps, ils représentent une opportunité dans des pays où l’accès à l’énergie est sans doute un des principaux facteurs de blocage au développement. Certaines formes d’investissement peuvent être encouragées, à condition qu’elles profitent aux économies locales.
This paper presents an overview of current opportunities and challenges facing efforts to increase the impact of rural and agricultural extension. The starting point for this analysis is in recognition that the days when agricultural extension was synonymous with the work of public sector agencies are over.
The Sourcebook is the outcome of joint planning, continued interest in gender and agriculture, and concerted efforts by the World Bank, FAO, and IFAD. The purpose of the Sourcebook is to act as a guide for practitioners and technical staff inaddressing gender issues and integrating gender-responsive actions in the design and implementation of agricultural projects and programs. It speaks not with gender specialists on how to improve their skills but rather reaches out to technical experts to guide them in thinking through how to integrate gender dimensions into their operations.
This report provides a synthesis of all findings and information generated through a “stocktaking” process that involved a desk study of Prolinnova documents and evaluation reports, a questionnaire to 40 staff members of international organizations in agricultural research and development (ARD), self-assessment by the Country Platforms (CPs) and backstopping visits to five CPs. In 2014, the Prolinnova network saw a need to re-strategise in a changing context, and started this process by reviewing the activities it had undertaken and assessing its own functioning.
Depuis plusieurs décennies, les pays de l’Afrique de l’Ouest se sont investis dans le développement et la diffusion des innovations agricoles dans le but d’accroître la productivité agricole et la production vivrière en particulier. Plusieurs mécanismes et approches ont été développés à cet effet en vue d’une utilisation efficace de ces innovations agricoles par les producteurs.
Ce document examine les approches suivies actuellement en ce qui concerne le renforcement des capacités commerciales dans les pays africains. Ce but est de:
Identifier des mécanismes permettant de promouvoir un processus de formulation de la politique commerciale de type participatif et de l’intégrer dans les stratégies nationales de développement et de lutte contre la pauvret.
Etudier le rôle que pourraient jouer les donneurs en facilitant et en soutenant le processus d’élaboration de la politique commerciale.
Le présent document a reconnu l’existence d’un consensus international croissant au sujet de l’importance de l’objectif de renforcement des capacités et de la façon dont il a des chances d’être réalisé. L’accent a été mis sur la reconnaissance du fait que le renforcement des capacités est un processus endogène, sur l’importance de l’appropriation des politiques nationales qui en résulte, et sur la nécessité pour les donneurs de se limiter à encourager et à soutenir les efforts du pays.