This paper comparatively analyzes the structure of agricultural policy development networks that connect organizations working on agricultural development, climate change and food security in fourteen smallholder farming communities across East Africa, West Africa and South Asia.
Literature is scanty on how public agricultural investments can help reducing the impact of future challenges such as climate change and population pressure on national economies. The objective of this study is to assess the medium and long-term effects of alternative agricultural research and development investment scenarios on male and female employment in 14 African countries. The authors first estimate the effects of agricultural investment scenarios on the overall GDP growth of a given country using partial and general equilibrium models.
Recently, a new approach to extension and climate information services, namely Participatory Integrated Climate Services for Agriculture (PICSA) has been developed. PICSA makes use of historical climate records, participatory decision-making tools and forecasts to help farmers identify and better plan livelihood options that are suited to local climate features and farmers’ own circumstances.
Climate forecasts have shown potential for improving resilience of African agriculture to climate shocks, but uncertainty remains about how farmers would use such information in crop management decisions and whether doing so would benefit them. This article presents results from participatory research with farmers from two agro-ecological zones of Senegal, West Africa. Based on simulation exercises, the introduction of seasonal and dekadal forecasts induced changes in farmers’ practices in almost 75% of the cases.
Traditional approaches to innovation systems policymaking and governance often focus exclusively on the central provision of services, regulations, fiscal measures, and subsidies.
2015 a été une année marquante pour l’avenir de la planète et donc pour l’avenir de chaque femme, chaque homme, chaque enfant, fille ou garçon, aux quatre coins du monde. Deux événements importants – le Sommet des Nations Unies sur le développement durable 2015 et la COP21, sur le développement et le changement climatique, ont donné lieu à des engagements concrets et sans précédent à l’échelle mondiale pour éradiquer la pauvreté d’ici à 2030 et promouvoir la protection de l’environnement.
Le président Macky Sall veut mettre en pratique une série de réformes inclusives qui permettraient au Sénégal d’allier à la fois les « bienfaits de l’agrobusiness » et de l’agriculture paysanne. La balle est dans le camp des sociétés civiles et des organisations paysannes qui doivent saisir la chance d’orienter les politiques agricoles de leur pays. Si elles manquent cette opportunité, le gouvernement sénégalais risque de favoriser l’agrobusiness classique.
À l’occasion de l’année internationale des coopératives, le modèle coopératif est-il trop ou pas assez glorifié ? En pointant le rôle important des coopératives pour le développement social, ses valeurs de solidarité et d’autonomie, l’Assemblée générale des Nations unies a décidé de mettre cette forme de mutualisation à l’honneur en 2012. Mais quels critères permettent de classer les coopératives au-dessus d’autres formes associatives ? Et les manières d’élaborer et de concevoir les coopératives sont-elles identiques au Sud et au Nord ?
Dans le cadre d’un programme financé par l’Union Européenne, les ONG GLOPOLIS, SOS FAIM et VECO et leurs partenaires paysans concernés ont mené plusieurs études sur les filières de production de riz dans 5 pays d’Afrique de l’ouest : le Bénin, le Burkina Faso, le Mali, le Niger et le Sénégal.
Les conventions locales peuvent être définies comme des accords légitimes négociés entre plusieurs parties prenantes (stakeholders) dans une perspective de régulation des ressources naturelles – en termes de contrôle, d’accès, d’appropriation, d’usage et d’exploitation – et de l’environnement. Au Sahel, bien qu’elles soient en vogue et jouissent davantage d’attention chez les décideurs, elles constituent des instruments encore peu exploités dans le contexte actuel de la décentralisation (Diallo, 2003).