This paper sets out an analytical framework for doing research on the question of how to use agricultural research for innovation and impact. Its focus is the Research Into Use programme sponsored by the UK's Department for International Development (DFID). This is one example of a new type of international development programme that seeks to find better ways of using research for developmental purposes.
RIU is a research and development programme designed to put agricultural research into use for developmental purposes and to conduct research on how to do this. The programme is funded by the UK’s Department for International Development (DFID). It follows earlier investments by DFID in agricultural and natural resources research, supported through its renewable natural resources research strategy (RRNRRS). While this strategy delivered high-quality research, the uptake of this research and its impact on social and economic progress was modest.
Globalization, urbanization and new market demands - together with ever-increasing quality and safety requirements - are putting significantly greater pressures on agrifood stakeholders in the world. The ability to respond to new challenges and opportunities is important not just for producers but also for industries in developing countries. This paper aims to present what "innovation response capacity" entails, especially for natural resourcebased industries in a developing country context.
L'innovation est souvent présentée comme l'un des principaux leviers pour promouvoir un développement plus durable et plus inclusif. Dans les domaines de l'agriculture et de l'alimentation, l'innovation est marquée par des spécificités liées à sa relation à la nature, mais aussi à la grande diversité d'acteurs concernés, depuis les agriculteurs jusqu'aux consommateurs, en passant par les services de recherche et de développement.
Les politiques d'innovation dans les filières agricoles en Côte d'Ivoire depuis 2011 reposent sur la création d'un dispositif de transferts technologiques qualifié de "Plateformes d'Innovation", pour introduire des plants de variétés et d'hybrides améliorés. Cet article s'intéresse particulièrement aux conséquences des "Plateformes d'Innovation Banane Plantain" (PIP) dans la réorientation des choix technologiques locaux. Il interroge leurs résultats sur l'amélioration de l'indépendance alimentaire.
La recherche et le développement dans le secteur agricole et agroalimentaire sont de plus en plus interpellés dans leurs capacités à répondre à la demande sociale et à contribuer au développement durable ou à la lutte contre la pauvreté.
Los enfoques y prácticas de extensión se han transformado notablemente en las últimas décadas. A la vez, numerosos autores han señalado la persistencia de enfoques difusionistas tanto en las instituciones como en las prácticas de los extensionistas. En esta investigación se analizan las prácticas de extensión implementadas en el noreste argentino, se las compara con propuestas institucionales y académicas actuales y se extraen aprendizajes. Para esto se realizaron 40 entrevistas a extensionistas que trabajan en el ámbito público en las provincias de Chaco, Corrientes, Formosa y Misiones.
En vista de que las concepciones de extensión guían las acciones de los extensionistas en terreno, se realizó una encuesta vía correo electrónico a gestores argentinos que trabajan en el ámbito público nacional. Se obtuvieron 219 respuestas a preguntas abiertas que fueron categorizadas y cuantificadas. La concepción de extensión observada no corresponde con los modelos teóricos y se observa la articulación de elementos correspondientes a diferentes modelos.
De nombreux agriculteurs africains pratiquent des formes d'agriculture potentiellement qualifiables de "?biologiques?". Pourtant, la capacité de l'agriculture biologique à répondre aux enjeux de la sécurité alimentaire en Afrique est encore mal connue, car il existe peu de références expérimentales disponibles dans cette région. L'élicitation probabiliste est une méthode permettant de rendre compte de manière précise des connaissances d'experts sur une ou plusieurs quantités d'intérêt, et de décrire les niveaux d'incertitude associés.
L'article propose d'utiliser le concept de sécurisation alimentaire pour étudier les actions et processus qui améliorent une situation alimentaire, plutôt que celui de sécurité alimentaire qui se réfère avant tout à la satisfaction de besoins alimentaires. Dans une première partie, ces deux concepts sont précisés et discutés. La sécurité alimentaire est caractérisée selon plusieurs dimensions : disponibilités, conditions d'accès, qualités des aliments, stabilité, mais aussi objectifs sociaux et politiques.