Projet pilote, l’initiative Adaptation Learning Program (ALP) ou Programme d’Apprentissage sur l’Adaptation au Changement Climatique, est mis en œuvre pour une durée de cinq ans (2010-2014) à l’échelle de quatre pays subsahariens : Ghana, Kenya, Mozambique et Niger. Cette phase est conçue et mise en œuvre par Care et ses partenaires dans le but de « Renforcer la capacité des ménages vulnérables en Afrique sub-saharienne à s’adapter à la variabilité et au changement climatique à travers une approche d’adaptation à base communautaire (ABC) ».
Le recueil crée un cadre qui permet de standardiser les
méthodes de sélection des indicateurs et propose une liste d’indicateurs de base
pour assurer le suivi et l’évaluation des activités du secteur de l’agriculture et
du développement rural (ADR). Sa finalité est d’améliorer la qualité du suivi et
de l’évaluation des programmes d’agriculture et de développement rural aux
niveaux national et mondial.
Le S&E est intrinsèquement difficile à réaliser et exige un niveau de capacité
Le renforcement des capacités est maintenant d’une actualité brûlante en Afrique. Avec d’autres bailleurs de fonds, la banque recherche des moyens appropriés de collaborer avec les gouvernements africains pour les rendre mieux à même de mettre en oeuvre des programmes de développement sur tout le continent. Étant donné le caractère rural de la plupart des économies africaines et la concentration de pauvres dans les zones rurales, il est urgent de renforcer les capacités pour promouvoir le développement agricole.
L' étude de la Banque Mondiale a identifié des mesures d’atténuation pouvant apporter des solutions à court et à long termes aux problèmes du secteur agricole du Niger. Il s’agit, notamment de :
l’utilisation de variétés à haut rendement résistantes à la sécheresse,
l’application de techniques de CES/DRS et de gestion des ressources naturelles,
l’extension des surfaces sous irrigation,
la lutte préventive contre les criquets pèlerins,
Le Niger compte parmi les pays les plus vulnérables au monde en raison du contexte lié à son climat, ses institutions, ses sources de revenus, son économie et son environnement. La pauvreté y est omniprésente et le pays se classe au bas de l’échelle sur la quasi-totalité des indicateurs de développement humain. L’agriculture est le secteur le plus important de l’économie du Niger. Elle représente plus de 40 pour cent du le produit intérieur brut national et constitue la principale source de revenus pour plus de 80 pour cent de la population.
La R&D agricole considère aujourd’hui les innovations de terrain comme des sources d’idées et de références pour améliorer durablement les modes de production. La « traque de systèmes innovants » et l’évaluation de ces systèmes pour définir les plus performants du point de vue économique et agrienvironnemental nécessitent cependant un travail de mise au point méthodologique, auquel cet article vise à contribuer.
Les enjeux liés au changement climatique et à la sécurité alimentaire confortent la nécessité de mettre au point des démarches de conception/évaluation de systèmes durables, qu’il s’agisse d’améliorer les situations existantes ou d’imaginer de nouvelles voies de développement. En régions chaudes, l’élevage remplit aussi des fonctions non productives et doit s’adapter aux aléas et incertitudes.
Le présent document inclut les sections suivantes :
• La description des politiques et stratégies du Bénin dans les domaines du développement et de la réduction de la pauvreté, en particulier en vue de l’amélioration des conditions de vie des groupes vulnérables, dont les femmes rurales. Les politiques et stratégies qui orientent le développement du secteur agricole et rural sont aussi décrites, essentiellement eu égard aux aspects intéressant les groupes vulnérables, notamment les femmes rurales (Chapitre 3).
Ce manuel illustre une méthode pour l’évaluation des projets de développement agricole, tout en expliquant:
- Ce qu’il faut mesurer;
- Comment mesurer l’impact des projets: quelles méthodes sont employées;
- L’évaluation systémique d’impact;
- L’évaluation systémique d’impact à l’épreuve des faits.
La metodología busca identificar las debilidades a lo largo de las cadenas agroalimentarias que llevan a la pérdida de alimentos (pérdidas de poscosecha) y, a su vez, elaborar propuestas para mejorar la eficiencia de dichas cadenas a partir de la identificación y la formulación de soluciones. La aplicación de esta metodología por los diferentes actores es un primer paso para la reducción de pérdidas de alimentos