The world’s population is likely to reach 9 billion by the middle of this century. The Food and Agriculture Organization of the United Nations (FAO) believes that 60 per cent more food will be needed by 2050 to sustain all these people. Where possible, this food should be produced where it is needed – in developing countries.
La population mondiale atteindra probablement les neuf milliards de personnes d’ici le milieu du siècle. Selon les estimations de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), il faudrait augmenter la production alimentaire de 60 pour cent pour les nourrir. Ces produits alimentaires supplémentaires devraient dans l’idéal être produits là où ils sont censés être consommés, c’està-dire dans les pays en développement. Pour y parvenir, ces pays doivent augmenter sensiblement leur production.
Water is scarce and pivotal for the Sahel, not only for increasing the productivity for millions of small-scale farmers but also for countering loss of arable land resulting from erosion and warming temperatures. A major barrier to the use of water in the Sahel is the lack of infrastructure and technologies – 45 percent of the population do not have access to water, and only 2 percent of arable land is irrigated (OECD, 2022).
The IFAD Innovation Strategy does not set new objectives for staff, but rather defines what is needed to create an innovation-friendly environment and to support staff in achieving the expected results.To strengthen its innovative capabilities and become a better catalyst of pro-poor innovation, IFAD will focus on four clusters of activities: (i) Building capabilities and understanding of challenges requiring innovation; (ii) Nurturing partnerships and facilitating an innovation network; (iii) Embedding rigorous innovation processes and the related risk management into IFAD’s core business
TAP and its partners carried out regional surveys in Asia, Africa and Central America to assess priorities, capacities and needs in national agricultural innovation systems. This document provides a Regional synthesis report on capacity needs assessment for agricultural innovation in Africa. FARA was selected as Recipient Organization by FAO to facilitate TAP implementation in Africa. This is mainly due to its position as the umbrella organization bringing together and forming coalitions of major regional stakeholders in agricultural research and development.
Le rapport est construit en trois parties : • la première partie traite de l’adaptation des agricultures familiales aux changements climatiques et des conditions de l’adaptation ; • la seconde partie aborde la place de l’adaptation des agricultures familiales dans les politiques publiques ; • la troisième partie propose un certain nombre de recommandations en vue d’une meilleure intégration de cette question dans les politiques publiques. Une présentation des trois études de cas-pays est par ailleurs proposée en annexe.
El informe está estructurado en tres partes:
• la primera parte trata de la adaptación de la agricultura familiar a los cambios climáticos y de las condiciones de la adaptación; • la segunda parte aborda el lugar que ocupa la adaptación de la agricultura familiar en las políticas públicas;
• la tercera parte propone algunas recomendaciones para una mejor integración de este tema en las políticas públicas.
Una presentación de los tres estudios de caso-países figura también en anexo.
L' étude de la Banque Mondiale a identifié des mesures d’atténuation pouvant apporter des solutions à court et à long termes aux problèmes du secteur agricole du Niger. Il s’agit, notamment de :
l’utilisation de variétés à haut rendement résistantes à la sécheresse,
l’application de techniques de CES/DRS et de gestion des ressources naturelles,
l’extension des surfaces sous irrigation,
la lutte préventive contre les criquets pèlerins,
Le Niger compte parmi les pays les plus vulnérables au monde en raison du contexte lié à son climat, ses institutions, ses sources de revenus, son économie et son environnement. La pauvreté y est omniprésente et le pays se classe au bas de l’échelle sur la quasi-totalité des indicateurs de développement humain. L’agriculture est le secteur le plus important de l’économie du Niger. Elle représente plus de 40 pour cent du le produit intérieur brut national et constitue la principale source de revenus pour plus de 80 pour cent de la population.
Au Burkina Faso, le faible niveau de développement social et économique et sa population à grande majorité rurale rendent le pays très dépendant des ressources naturelles. Pour se nourrir, se loger et s’épanouir, les ressources naturelles sont directement prélevées et les terres sont de plus en plus mises en culture sous la pression démographique au détriment des espaces naturels. En effet, les ressources naturelles constituent le support de la plupart des activités de production.