Ce document présente la Contribution du Service d’Appui aux Initiatives Locales de Développement (SAILD-ONG) à la sécurité alimentaire et à la diversification nutritionnelle des familles ciblées dans 21 villages des régions de l’Extrême-Nord et de l’Est du Cameroun.
La transition agroécologique requiert de transformer la manière d’accompagner les agriculteurs dans leurs changements de pratiques. Les champs-écoles sont des dispositifs participatifs pertinents pour cela, car ils accroissent les capacités des agriculteurs à expérimenter, à produire des connaissances et à construire eux-mêmes des innovations. Il est toutefois nécessaire de veiller à la qualité de mise en œuvre de ces dispositifs, ce qui a des implications pour les acteurs de la recherche et du développement.
L’objectif de ce guide est de faciliter la planification et la mise en œuvre des
sessions de formation. Il fait partie du cours de Gestion d’entreprises associatives
rurales en agroalimentaire et a été conçu pour les facilitateurs qui possèdent
des connaissances et une expérience en ce qui concerne les aspects techniques de
la formation, mais qui n’ont pas forcément de compétences pédagogiques et qui
n’ont pas d’expérience leur permettant de faciliter le processus d’enseignementapprentissage.
Le renforcement des capacités est maintenant d’une actualité brûlante en Afrique. Avec d’autres bailleurs de fonds, la banque recherche des moyens appropriés de collaborer avec les gouvernements africains pour les rendre mieux à même de mettre en oeuvre des programmes de développement sur tout le continent. Étant donné le caractère rural de la plupart des économies africaines et la concentration de pauvres dans les zones rurales, il est urgent de renforcer les capacités pour promouvoir le développement agricole.
Le rapport est construit en trois parties : • la première partie traite de l’adaptation des agricultures familiales aux changements climatiques et des conditions de l’adaptation ; • la seconde partie aborde la place de l’adaptation des agricultures familiales dans les politiques publiques ; • la troisième partie propose un certain nombre de recommandations en vue d’une meilleure intégration de cette question dans les politiques publiques. Une présentation des trois études de cas-pays est par ailleurs proposée en annexe.
Projet pilote, l’initiative Adaptation Learning Program (ALP) ou Programme d’Apprentissage sur l’Adaptation au Changement Climatique, est mis en œuvre pour une durée de cinq ans (2010-2014) à l’échelle de quatre pays subsahariens : Ghana, Kenya, Mozambique et Niger. Cette phase est conçue et mise en œuvre par Care et ses partenaires dans le but de « Renforcer la capacité des ménages vulnérables en Afrique sub-saharienne à s’adapter à la variabilité et au changement climatique à travers une approche d’adaptation à base communautaire (ABC) ».
Pour parvenir à la sécurité alimentaire et réduire la pauvreté, les emplois décents sont essentiels. Souvent, dans les communautés rurales pauvres du monde entier, les hommes et les femmes sont entièrement tributaires de leur travail, qui est leur seule source de revenu, mais les emplois sont très précaires, peu rémunérés et les conditions de travail, parfois dangereuses. Plus de 85 pour cent des jeunes, soit environ 24 pour cent des travailleurs pauvres, vivent dans des pays en développement.
Ce guide technique sur le «consentement préalable, donné librement et en connaissance de cause» (CPLCC) établit des mesures concrètes permettant aux organisations gouvernementales de respecter et de protéger le CPLCC et aux organisations de la société civile, aux utilisateurs des terres et aux investisseurs privés dans le monde de s’acquitter de leurs responsabilités envers le CPLCC, conformément à ces Directives.
Ce manuel est destiné aux formateurs des organisations paysannes (OP) et à leurs membres en Afrique sub-saharienne. Le but étant de fournir une formation sur les techniques et opérations après-récolte afin d’améliorer la qualité des grains et ainsi de permettre l’augmentation des revenus et l’amélioration de la sécurité alimentaire des agriculteurs participants au programme. Dans le passé, les formations sur les opérations après-récolte n’ont pas été normalisées entre les différents pays membres du programme P4P.
La plupart des agences qui soutiennent la recherche agricole en Afrique subsaharienne fournissent des financements à des projets distincts durant des périodes spécifiques, en général pour une durée maximale de trois ans. Les sujets de recherche identifiés pour les appels à propositions ne correspondent pas toujours aux besoins des utilisateurs. Ils peuvent, en particulier, ne pas refléter les priorités des organisations – comme les organisations paysannes ou les entreprises agricoles privées, pourtant intéressées par les résultats de la recherche.