The agricultural industry is getting more data-centric and requires precise, more advanced data and technologies than before, despite being familiar with agricultural processes. The agriculture industry is being advanced by various information and advanced communication technologies, such as the Internet of Things (IoT). The rapid emergence of these advanced technologies has restructured almost all other industries, as well as advanced agriculture, which has shifted the industry from a statistical approach to a quantitative one.
Approved by TAP partners, the TAP Work Plan 2016 describes the activities to be carried out in 2016 to achieve TAP's objective of promoting more coherent and effective capacity development interventions for agricultural innovation.
Global climate change and food security are complex and closely intertwined challenges. A key requirement for dealing with them successfully is that agriculture becomes more eco-efficient. As researchers work toward this goal, they must always ask, “Efficiency for whom?” Finding answers to this question requires that research be conducted from a systems perspective in a broadly participatory manner involving complex collaborative arrangements.
Since 2004, the Institutional Knowledge Sharing (IKS) Project, managed by CIAT, has focused on scaling up project activities in CGIAR Centers and Programs, with the aim of mainstreaming knowledge sharing (KS) principles and tools. The overall objective is to contribute to organizational development, and improve CGIAR effectiveness by promoting collaborative learning and innovation, and supporting effective use of KS approaches and tools throughout the CGIAR.
Les démarches participatives suscitent un intérêt grandissant en tant que pratiques de recherche en agriculture. Dans l'objectif de faciliter les échanges de pratiques entre chercheurs, cet article propose une grille d'analyse qui appréhende le processus de participation de façon globale et dynamique.
This tool will enable stakeholders in the countries’ organic agriculture movements to assess the functioning of national control systems (NCSs) for organic production and, with the assistance of IICA, to collaborate on the development of action plans to strengthen institutions and agencies involved in organic production control at a national level, thereby providing consumers in national and international markets with greater quality assurance for these types of products.
L’objectif de ce travail est de proposer un plan de formation des différents catégories d'acteurs (à identifier) dans le but d'apporter une contribution significative au renforcement de capacité dans chaque pays et dans la sous-région. Des actions précises visant à permettre aux acteurs de lever les éventuels blocages institutionnels devront accompagner ce processus de renforcement des capacités, notamment en ce qui concerne la négociation, le lobbying, la mise en réseau etc.
Les résultats attendus de ce travail sont :
L’objectif de ce guide est de faciliter la planification et la mise en œuvre des
sessions de formation. Il fait partie du cours de Gestion d’entreprises associatives
rurales en agroalimentaire et a été conçu pour les facilitateurs qui possèdent
des connaissances et une expérience en ce qui concerne les aspects techniques de
la formation, mais qui n’ont pas forcément de compétences pédagogiques et qui
n’ont pas d’expérience leur permettant de faciliter le processus d’enseignementapprentissage.
Le rapport est construit en trois parties : • la première partie traite de l’adaptation des agricultures familiales aux changements climatiques et des conditions de l’adaptation ; • la seconde partie aborde la place de l’adaptation des agricultures familiales dans les politiques publiques ; • la troisième partie propose un certain nombre de recommandations en vue d’une meilleure intégration de cette question dans les politiques publiques. Une présentation des trois études de cas-pays est par ailleurs proposée en annexe.
L' étude de la Banque Mondiale a identifié des mesures d’atténuation pouvant apporter des solutions à court et à long termes aux problèmes du secteur agricole du Niger. Il s’agit, notamment de :
l’utilisation de variétés à haut rendement résistantes à la sécheresse,
l’application de techniques de CES/DRS et de gestion des ressources naturelles,
l’extension des surfaces sous irrigation,
la lutte préventive contre les criquets pèlerins,