Le projet agro-écologique porte une ambition claire : dépasser les oppositions autour de la question du modèle de croissance de notre agriculture et inscrire l’évolution de notre agriculture et des filières agricoles et agroalimentaires dans un cadre tourné vers l’avenir et adapté aux nombreux défis que nous devons relever. Cette approche est d’autant plus nécessaire qu’il n’existe plus, de fait, de modèle unique d’exploitations ; celles-ci sont très diversifiées et de moins en moins semblables les unes aux autres. L’agro-écologie est un véritable projet pour l’agriculture.
Dans le cadre de ce projet (2015-2018), la FAO a travaillé dans 21 pays (voir la carte ci-dessous) au travers de partenariats avec des OSC nationales pour la réalisation d’ateliers de sensibilisation et de renforcement des capacités afin de: Améliorer les connaissances et la compréhension des OSC par rapport aux DVGF; Accroître leurs compétences en matière de construction et connexion de réseaux et de plaidoyer pour défendre leurs droits fonciers et renforcer les partenariats pour une meilleure application des DVGF à tous les niveaux; Renforcer leurs capacités pour une participation e
La FAO, en collaboration avec le ministère de l’agriculture du Gabon, a exécuté un projet d’intensification vivrière à travers la mécanisation agricole à Lébamba. En privilégiant l’approche Champs Ecoles Paysans (CEP), les populations regroupées en coopératives agricoles ont été formées sur les approches de l’agriculture durable, notamment à travers l’apprentissage de nouveaux itinéraires de culture. De plus, par l’utilisation des outils de mécanisation agricole, la pénibilité de leur travail est réduite et leur rendement est augmenté.
L’agroécologie est multidimensionnelle, car elle correspond à la fois à une discipline scientifique, à un ensemble de pratiques et à un mouvement social de contestation. Mais il serait erroné d’affirmer que tous les avis sont unanimes à propos de l’agroécologie. Ce dossier croise les analyses de plusieurs experts, d’acteurs du Sud et du Nord, concernés pas cette agriculture à la fois ancienne et nouvelle, qui a l’ambition d’apporter de vraies solutions pour l’avenir de la planète.
Inclusion is a key issue for Agricultural Research for Development (ARD). Development goals in and of themselves call for better livelihoods and opportunities for the less privileged actors working in agriculture. They also call for greater equity and balanced representation of the population at an institutional level. This brief focuses on how ARD processes can more sensitively address gender relations and youth issues. Women and young people have distinctive needs and interests which can be less visible within broader “Producer Organizations”, for example.
En el presente artículo se fundamenta la figura de los “emprendimientos productivos familiares” como estrategia de desarrollo sostenible para la comunidad de “El Mamonal”, perteneciente al Municipio Falcón de la Península de Paraguaná, iniciativa comunitaria concebida en el año 2008 en el marco del Proyecto de Granjas Integrales Turísticas Educativas Comunitarias-GITEC, desde el cual los habitantes del sector han construido gran parte de los elementos que configuran su mapa territorial actual.
In this paper, presented at the 12th European IFSA Symposium (Workshop: "Generating spaces for innovation in agricultural and rural development") in 2016, the authors assess the integration of new entrants to small-scale farming into agricultural knowledge and innovation systems (AKIS), in four study sites located on Europe’s periphery (Bulgaria, Poland, Portugal, and the United Kingdom).
The Establishment of the Rahad Scheme in Eastern Sudan in the 1970s established an agricultural innovation system where formal actors such as extension, research, finance institutions and informal actors such as agro pastoral organizations are networking to provide better livelihoods within the irrigated scheme area. This investigation focuses on the roles and interactions of agro pastoral organizations and finance institutions in relation to extension work in Rahad Scheme.
This paper provides a review of agronomic management practices supporting sustainable crop production systems and intensification, and testifying to developments in the selection of crops and cultivars. The paper also describes crop farming systems taking a predominantly ecosystem approach and it discusses the scientific application of this approach for the management of pest and weed populations.
Until recently, little attention has been paid to local innovation capacity as well as management practices and institutions developed by communities and other local actors based on their traditional knowledge. This paper doesn't focus on the results of scientific research into innovation systems, but rather on how local communities, in a network of supportive partnerships, draw knowledge for others, combine it with their own knowledge and then innovate in their local practices.