La crise cacaoyère de la fin de la décennie 1970 a profondément bouleversé les stratégies de survie des producteurs. Elle s’est manifestée par la rareté des facteurs de production (la terre et le travail), la diminution de la production et du revenu, la transformation du milieu écologique et la baisse de la pluviométrie. Pour faire face à l’ensemble de ces contraintes, les producteurs ont adopté diverses stratégies dont l’objectif est soit de diversifier les sources de revenu, soit de réduire les charges familiales.
Dans le contexte de crise économique et environnementale qui touche la filière banane à la Guadeloupe, l'objectif de cette contribution est d'engager une réflexion sur l'organisation d'acteurs à l'origine des innovations agro-écologiques. Nous interrogeons les dynamiques d’acteurs face aux crises et perturbations qui touchent l'agriculture antillaise, par le biais de l'organisation qu'ils mettent en place pour accompagner le changement.
Dans les régions laitières et bocagères, les exploitations agricoles sont souvent considérées comme les unités élémentaires de structuration de l’espace et du paysage rural. L’étude des logiques d’organisation des pratiques des agriculteurs apparaît ainsi comme une grille d’analyse pertinente des dynamiques de transformation de ces espaces et de ces paysages. Dans les exploitations laitières de l’Ouest Atlantique, les facteurs liés à la morphologie parcellaire (pulvérisation spatiale des parcelles, surface de l’exploitation) jouent un rôle prépondérant.
Au sud-est de la commune de Djougou, les eaux de surface à usage pastoral se raréfient depuis les années 1990. Pour en comprendre l’ampleur et les raisons, nous avons développé un outil permettant une analyse socio-spatiale et socio-environnementale, à l’échelle du finage de deux villages, des dynamiques des ressources, de leurs usages et des stratégies d’accès développées par les populations : un SIG « à dires d’acteurs » associant sur le même support une cartographie classique (réseau hydrographique, forêts, voies de communication, villages, etc.) et l’expertise des populations locales.
Les populations rurales sédentaires de la commune de Hombori (Mali) pratiquent presque toutes la culture de mil associée au petit élevage non transhumant. Au-delà des contraintes environnementales d’une région semi-aride, le maintien de l’agro-élevage repose sur une double maitrise, des territoires et des ressources, l’une et l’autre ne pouvant se confondre.
Resulta indispensable discutir los contenidos y las metodologías utilizadas para formar extensionistas, muchas veces focalizadas exclusivamente en conocimientos técnicos e implementadas según una lógica transferencista. Así, en este trabajo, a través de la realización de entrevistas, se analizan las necesidades formativas de los extensionistas rurales paraguayos indagando su función, los problemas a los que se enfrentan en su práctica y sus propios intereses formativos.
Este artículo tiene como objetivo analizar y discutir qué tecnologías tradicionales utilizan los campesinos de pequeño porte y si en las últimas siete décadas se ha realizado investigaciones y transferencias de nuevas tecnologías para estos agricultores.
This article highlights the experiences and lessons generated by the project collaborators in enhancing the adaptive capacities of selected upland farming communities in Southeast Asia. The project collaborators employed capability building programs, such as farmers' and technicians' training, local climate change awareness programs, cross-farm visits, demonstration plots showcasing agroforestry technologies as climate change adaptation (CCA) strategies, and linking science with policies
Este artículo tiene el propósito de argumentar el grado de cohesión social que existe en la Productora de Flores Selectas de Tequexquinahuac SPR, RL, una organización integrada por 20 socios: 17 son hombres y 3 mujeres. La idea central está basada en el interés por conocer elementos que permiten organizar a actores sociales alrededor de un proyecto común; al interior de la organización propician cohesión social.
El presente artículo busca debatir la realidad rural del estado de Rio Grande do Sul (RS), argumentando que las relaciones de producción y consumo no están totalmente desconectadas. Pero esta desconexión se ha acelerado por los límites derivados de las políticas públicas y normas sanitarias vigentes en Brasil. Sin embargo, las estrategias de valorización del origen de los productos adoptadas en muchos lugares del estado de Rio Grande do Sul presentan limitaciones para la formalización de la producción de alimentos.