Since 2004, the Institutional Knowledge Sharing (IKS) Project, managed by CIAT, has focused on scaling up project activities in CGIAR Centers and Programs, with the aim of mainstreaming knowledge sharing (KS) principles and tools. The overall objective is to contribute to organizational development, and improve CGIAR effectiveness by promoting collaborative learning and innovation, and supporting effective use of KS approaches and tools throughout the CGIAR.
Over the past decades, Brazilian agriculture has played an important role in the international market, in response to growing global demand for products, services and food security. This achievement was in a large extent powered by the ability to generate knowledge and the actions promoted by science and technology institutes.
The presentation was delivered to a conference entitled "Science Protecting Plant Health" in Brisbane on September 26th 2017 and then in private policy briefings to ACIAR (Australian Centre for International Agricultural Research) and DAWR (Australian Government Department of Agriculture) in Australia. The presentation includes description of the role of the Tropical Agriculture Platform (TAP) and case study examples from CABI’s work to describe capacity building at the levels of individual, organisation and enabling environment.
Cette présentation PowerPoint présentée par Magdalena Blum (à l'Atelier sur le Conseil orienté vers le marché Dakar, Sénégal, 22-24 octobre 2012) se concentre sur les sujets suivants:
- Nouveau concept du conseil agricole et rural
- Nouveaux rôles des conseillers
- Les caractéristiques des systèmes de conseil agricole et rurale
Los artículos reunidos en este volumen se basan en las ponencias presentadas por los expertos que participaron en el seminario internacional “Políticas para la agricultura en América Latina y el Caribe: competitividad, sostenibilidad e inclusión social”, realizado en la sede de la Comisión Económica para América Latina y el Caribe (CEPAL) en Santiago los días 6 y 7 de diciembre de 2011.
Dans plusieurs domaines des sciences sociales et humaines (éducation, communication, travail social, économie sociale, médecine communautaire, technologie rurale, et pratiques politiques et syndicales, entre autres), et même dans les sciences dites « dures », la recherche appartient de moins en moins à un monde à part de spécialistes éloignés du terrain. Ce type de recherches – recherche participative, recherche-action, recherche collaborative, recherche-formation – se caractérise par un processus de production des connaissances effectué de concert avec les acteurs de terrain.
Les démarches participatives suscitent un intérêt grandissant en tant que pratiques de recherche en agriculture. Dans l'objectif de faciliter les échanges de pratiques entre chercheurs, cet article propose une grille d'analyse qui appréhende le processus de participation de façon globale et dynamique.
Des investisseurs publics et privés, nationaux ou étrangers, lancent des programmes d’acquisition, de location ou d’utilisation contractuelle de terres agricoles dans des pays disposant de ressources foncières bon marché, où le marché foncier relève généralement de l’État (Afrique, Asie centrale, Amérique du Sud). Cette tendance s’est accélérée à la suite de la crise alimentaire du printemps 2008, puis de la crise fi nancière. Selon la FAO, entre 20 et 30 millions d’hectares de terres auraient fait l’objet de transactions ces dernières années.
En México y en el mundo, la incorporación de la comunidad científica (entre ellos los ecólogos) a la generación de conocimientos que coadyuven a solucionar los graves problemas ambientales, y avanzar hacia la sustentabilidad, requiere de una visión diferente en la investigación. Más aún, se requiere de herramientas novedosas para acoplar el trabajo de la comunidad científica con el resto de la sociedad.
Esta presentación muestra una solución sostenible para los pequeños productores y las familias rurales, particularmente por medio de nuevas tecnologías.