Les Nations unies ont désigné 2014 comme l’Année internationale de l’agriculture familiale. À l’échelle de la planète, la population agricole est estimée à 2,6 milliards de personnes, soit 40 % de la population totale. Avec 1,3 milliard d’actifs, l’agriculture demeure le premier secteur d’emploi au niveau mondial. Dans les pays en développement, là où 70% de la population reste liée aux activités agricoles, l’alimentation des familles dépend essentiellement de la production vivrière et des marchés locaux. Aujourd’hui, défendre l’agriculture familiale ne suffit plus.
À l’occasion de l’année internationale des coopératives, le modèle coopératif est-il trop ou pas assez glorifié ? En pointant le rôle important des coopératives pour le développement social, ses valeurs de solidarité et d’autonomie, l’Assemblée générale des Nations unies a décidé de mettre cette forme de mutualisation à l’honneur en 2012. Mais quels critères permettent de classer les coopératives au-dessus d’autres formes associatives ? Et les manières d’élaborer et de concevoir les coopératives sont-elles identiques au Sud et au Nord ?
Des changements dans les agendas des politiques publiques des Comités Nationaux de l’Agriculture Familiale des Philippines, du Honduras, du Burkina Faso et du Sénégal seront soutenus techniquement et économiquement. La création d’un nouveau Comité au Tchad sera également appuyée.
Les conventions locales peuvent être définies comme des accords légitimes négociés entre plusieurs parties prenantes (stakeholders) dans une perspective de régulation des ressources naturelles – en termes de contrôle, d’accès, d’appropriation, d’usage et d’exploitation – et de l’environnement. Au Sahel, bien qu’elles soient en vogue et jouissent davantage d’attention chez les décideurs, elles constituent des instruments encore peu exploités dans le contexte actuel de la décentralisation (Diallo, 2003).
Cette étude a été menée dans le cadre du projet PAEPARD ou Plateforme pour un partenariat Afrique-Europe dans le domaine de la recherche agricole pour le développement, projet financé à 80% par la Commission européenne avec pour objectif de consolider la collaboration entre l’Afrique et l’Europe dans le domaine de la Recherche Agricole pour le Développement.
This Breakout Session at the GCARD Second Global Conference on Agricultural Research for Development (Punta Del Este, Uruguay, 29 October – 1 November 2012)) sought to identify effective strategies for implementing innovation partnerships that improve the livelihoods of the poor on a large scale, including the gaining of evidence and understanding needed for that implementation.
The central question posed for this Breakout Sub-Session at the GCARD Second Global Conference on Agricultural Research for Development (Punta Del Este, Uruguay, 29 October – 1 November 2012) is "What role smallholder farmers now play and could play in meeting the future needs in food and nutrition security, poverty alleviation and sustainable management of natural resources?".
This brief on the session of "Partnerships for livelihood impacts" which was held during the the GCARD Second Global Conference on Agricultural Research for Development (Punta Del Este, Uruguay, 29 October – 1 November 2012), discusses the Empowering Smallholder Farmers in the Markets (ESFIM) programme. ESFIM sought to generate demand-driven research supportive of the policy priorities and activities undertaken by farmers’ organizations that strengthens the advocacy capacities of national farmers’ organisations.
Este es un estudio analítico-descriptivo no publicado, enfocado en TICs en la apicultura argentina, uruguaya, costarricense y dominicana, se enmarca conceptualmente analizando la situación productiva apícola global y de estos países latinoamericanos y el “estado del arte” de TICs en agricultura y apicultura en referentes líderes. Proyecta una potencial adaptación por los países bajo estudio; conceptualiza un modelo decisorio de productor apícola y sintetiza implicancias de variables relevantes para el desarrollo y difusión de dichas tecnologías.
This paper examines the role of postsecondary agricultural education and training (AET) in sub-Saharan Africa in the context of the region’s agricultural innovation systems. Specifically, the paper looks at how AET in sub-Saharan Africa can contribute to agricultural development by strengthening innovative capacity, or the ability of individuals and organisations to introduce new products and processes that are socially or economically relevant, particularly with respect to smallholder farmers who represent the largest group of agricultural producers in the region.