Poverty reduction is a long-standing development objective of many developing countries and their aid donors, including the World Bank. To achieve this goal, these countries and organizations have sought to improve smallholder agricultural productivity in Sub-Saharan Africa (SSA) as part of a broader rural development agenda aimed at providing a minimal basket of goods and services in rural areas to satisfy basic human needs. These goods and services include not only food, health care, and education, but also infrastructure.
This study, competitiveness of the value chain of the agricultural sector in Cameroon, aims to help the Government achieve its objectives for the rural sector. The main objective of this study was to provide information on the potentials, investment and growth policies of commercial agriculture in Cameroon. It gives an overview of the constraints and analyzes the national, regional or international competitiveness of six value chains of the agricultural sector. This paper examines family and large agro-industrial farms from different regions of Cameroon.
This country note briefly summarizes information relevant to both climate change and agriculture in Ecuador, with focus on policy developments (including action plans and programs) and institutional make-up. Like most countries in Latin America, Ecuador has submitted one national communication to the United Nations Framework Convention on Climate Change (UNFCCC) with a second one under preparation. Land use change and forestry are the largest contributors to greenhouse gases (GHG) emissions in the country.
Brazilian agriculture is a success story. The country that until the 1960s systematically received food donations from abroad. and up to the 1980s was still a large food importer, had its agriculture profoundly changed. The traditional agriculture that prevailed in Brazil until the 1970s was progressively transformed in the following decades into a modern and highly competitive agriculture based on science.
L'article propose d'utiliser le concept de sécurisation alimentaire pour étudier les actions et processus qui améliorent une situation alimentaire, plutôt que celui de sécurité alimentaire qui se réfère avant tout à la satisfaction de besoins alimentaires. Dans une première partie, ces deux concepts sont précisés et discutés. La sécurité alimentaire est caractérisée selon plusieurs dimensions : disponibilités, conditions d'accès, qualités des aliments, stabilité, mais aussi objectifs sociaux et politiques.
Les « modèles d’entreprises inclusives » ont fait l’objet d’un regain d’intérêt ces dernières années, dans le cadre de débats plus généraux concernant l’accroissement des investissements agricoles dans les pays à faible revenu. Ce rapport se penche sur les coentreprises dans le secteur agricole sud-africain. L’expérience de l’Afrique du Sud présente des caractéristiques propres liées à son histoire et à son récent programme de réforme agraire. Les bénéficiaires de la réforme agraire se sont embarqués dans diverses coentreprises avec des partenaires commerciaux.
L’agriculture est aujourd’hui interpellée par la société, qui exige bien plus qu’une simple production alimentaire : aliments de qualité, services environnementaux, insertion de populations marginalisées, revitalisation des territoires ruraux, habitabilité des milieux urbains, développement de productions énergétiques… Cette ouverture des futurs agricoles incite les acteurs ruraux à expérimenter de nouveaux systèmes de production et valorisation, faisant ainsi preuve de créativité et d’obstination pour exister face aux modèles de développement dominants.
Les politiques publiques en faveur du développement rural se matérialisent au travers d’instruments incitatifs, de règlements particuliers, ou encore par l’accompagnement des initiatives particulières. Ceux-ci répondent en général à la mise en place d’une stratégie nationale d’appui à une filière agricole. Dans le cas du quinoa cultivé au Chili, chaque région de production observe un développement propre.
L’intégration de la conservation de la biodiversité à un développement durable est ici analysée pour la gestion de la zone tampon de la Réserve de biosphère du Parc du W. Trois gestions intentionnelles sont avancées pour anticiper une transition agraire et paysagère. Chacune d’elles s’appuie sur des capacités qui leur sont propres. Une gestion intégrée de type agro forestière est recommandée.
La sécurité alimentaire en Algérie semble plus que menacée par un niveau de croissance démographique incontrôlé, par la dégradation des conditions physiques du secteur de l’agriculture, par la baisse des ressources hydriques et par le retard de développement technique de l’activité. À partir d’une revue bibliographique sur la situation actuelle du secteur agricole, le texte définit ses niveaux de développement et les défis de l’avenir auxquels ce secteur sera confronté.