In the past 50 years, Indian agriculture has undergone a major transformation, from dependence on food aid to becoming a consistent net food exporter. The gradual reforms in the agricultural sector (following the broader macro-reforms of the early 1990s) spurred some unprecedented innovations and changes in the food sector driven by private investment. These impressive achievements must now be viewed in light of the policy and investment imperatives that lie ahead.
The World Bank Group (WBG) has a long experience in engaging in biodiversity with world-class expertise in the field. It has been the single largest funder of biodiversity investments since the late 1980s. The WBG investments have largely been of two kinds: (1) investments in biodiversity, aimed at the conservation and sustainable use of species, habitats, and ecosystems that sustain healthy ecosystems, while enhancing people's livelihoods and safety nets.
This report analyses the experiences and lessons from three World Bank-Supported watershed development projects in the Indian states of Karnataka, Himachal Pradesh, and Uttarakhand.5 The primary reason for the analysis was to guide the development and execution of new watershed programs in India, including new Bank-supported state-level operations in Uttarakhand and Karnataka, and a proposed national project now under preparation.
The organization of the Nutrition Innovation Labs represents a novel model for focusing U.S.- supported research on food and nutrition issues in developing countries. Their aims are to discover how policy and program interventions can most effectively achieve large-scale improvements in maternal and child nutrition, particularly by leveraging agriculture and build human and institutional capacity for applied policy analysis, research and program implementation.
As the world’s most youthful country, it sits on the cusp of being able to harness the youth dividend. Without a more broadly diversified economy, seizing the opportunities presented by Uganda’s youthful demographic will call for understanding both young people, and a focus on the aspects of agriculture that will need to grow and change to meet the challenge.
Défis Sud avait déjà consacré un numéro spécial au « genre » en développement en 2005. Neuf ans plus tard, dans ce numéro « genre et transformations de l’agriculture familiale », la revue entend croiser les dynamiques présentes dans ce type d’agriculture en abordant les rapports femmes-hommes, les relations de pouvoir et les changements sensibles dans les interactions sociales, culturelles et professionnelles entre femmes et hommes dans les exploitations agricoles familiales.
Ces dernières années, une « ruée vers les terres » a privé une multitude de petits producteurs du Sud de leur surface agricole. Depuis l’an 2000, plus de 1 600 transactions foncières portant sur quelque 60 millions d’hectares ont été enregistrées.
Les Nations unies ont désigné 2014 comme l’Année internationale de l’agriculture familiale. À l’échelle de la planète, la population agricole est estimée à 2,6 milliards de personnes, soit 40 % de la population totale. Avec 1,3 milliard d’actifs, l’agriculture demeure le premier secteur d’emploi au niveau mondial. Dans les pays en développement, là où 70% de la population reste liée aux activités agricoles, l’alimentation des familles dépend essentiellement de la production vivrière et des marchés locaux. Aujourd’hui, défendre l’agriculture familiale ne suffit plus.
Aujourd’hui, l’agriculture familiale fait preuve de dynamisme. Pour prouver qu’elle est un modèle à défendre, il faut convaincre les États de mener des politiques volontaristes et souveraines de rénovation de l’agriculture. Une politique efficace devra identifier les forces et les faiblesses de l’agriculture familiale, lutter contre l’accaparement des terres, encourager les jeunes paysans et les paysannes. Prendre en compte les différentes dimensions de l’agriculture familiale est nécessaire pour mener à une transformation efficace.
Este documento haceun análisis sobre la productividad agregada del sector agropecuario en Ecuador, como para la producción de arroz, maíz duro, banano y cacao, tanto por hectárea como por persona empleada, diferenciando por niveles tecnológicos y tipos de productores. La finalidad última es disponer de un análisis actualizado sobre productividad de los principales rubros productivos del país y entre diferentes tipos de productores, con la finalidad de hacer recomendaciones concretas de política pública