Although much has been written about climate change and poverty as distinct and complex problems, the link between them has received little attention. Understanding this link is vital for the formulation of effective policy responses to climate change. This paper focuses on agriculture as a primary means by which the impacts of climate change are transmitted to the poor, and as a sector at the forefront of climate change mitigation efforts in developing countries.
Climate change is causing unprecedented damage to our ecosystem. Increasing temperatures, ocean warming and acidification, severe droughts, wildfires, altered precipitation patterns, melting glaciers, rising sea levels and amplification of extreme weather events have direct implications for our food systems. While the impacts of such environmental factors on food security are well known, the effects on food safety receive less attention.
In rural areas of developing countries, more than 70% of the population still depends on agriculture. However, economic crises, unscientific land allocation and climate change issues have hindered attempted gains in agricultural productivity and related rural development outcomes. Technology-driven breakthrough has usually pushed agriculture to the brink of another development that can affect not only plant diversity and yield, but also climatological and socio-economic outcomes.
The project case-studies described in this document a range of local-level, mainly donor-funded projects in four countries (Sierra Leone, Benin, Uganda and Mozambique). These projects incorporate climate change in their design and rationale in different ways, but generally base themselves on broad-brush climate trends or climate uncertainty rather than on specific downscaled projections. They also demonstrate a continuum ranging from pure knowledge provision, through breeding, seed supply, input provision and marketing, to provision of hardware and infrastructure, especially in irrigation.
L'agriculture intelligente face au climat (climate-smart agriculture – CSA) a comme objectifs d'être adaptée au changement climatique et de l'atténuer, tout en contribuant de manière durable à la sécurité alimentaire. Né en 2010 à l'initiative de la FAO, le concept a fait école et se décline désormais en diverses pratiques qui prennent en compte ces objectifs de manière différente. Les pratiques agroécologiques de couverture permanente du sol, par des arbres ou des cultures, sont parmi les plus courantes.
The Livestock and Irrigation Value Chains for Ethiopian Smallholders (LIVES) project supports the efforts of the GoE to transform the smallholder agriculture sector to a more market-oriented sector. LIVES uses a value chain framework to develop targeted livestock and irrigated agriculture commodities through integrated technical and institutional innovations. Such a framework recognizes that value chain actors add value at different stages of the value chain and that individuals and organizations provide inputs and services to the value chain actors.
Cette brochure présente un programme stratégique intitulé «Combler le fossé numérique en milieu rural», mis en œuvre en 2003 pour l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). Le programme exposait des approches novatrices pour le partage des connaissances qui tiraient partie des nouvelles technologies numériques (de l’époque) et qui s’appuyaient sur des synergies entre la gestion de l’information et la communication pour le développement. A l'époque cela était appelé «information et communication pour le développement" (ICD).
La sécurité alimentaire en Algérie semble plus que menacée par un niveau de croissance démographique incontrôlé, par la dégradation des conditions physiques du secteur de l’agriculture, par la baisse des ressources hydriques et par le retard de développement technique de l’activité. À partir d’une revue bibliographique sur la situation actuelle du secteur agricole, le texte définit ses niveaux de développement et les défis de l’avenir auxquels ce secteur sera confronté.
Les politiques d'innovation sont en plein essor dans de nombreux pays du Sud. L'innovation est considérée comme un moyen de concevoir des solutions viables et adaptées aux défis économiques, environnementaux et sociaux de chaque pays. De par la nature incertaine et risquée de l’innovation, une politique adaptée est nécessaire pour la promouvoir.
Aujourd’hui encore, les forêts restent un enjeu vital. Ceci alors que le développement accéléré de beaucoup de régions provoque une pression croissante sur les écosystèmes forestiers. Parc Yasuni en Equateur, parc national des Virunga en RDC, ou plus largement forêts tropicales au Brésil ou en Indonésie, on peut multiplier les exemples de conflits socio-environnementaux où la question de l’utilisation et de la propriété des ressources forestières est l’objet de luttes féroces entre populations indigènes, ONG environnementales, multinationales et gouvernements, etc.